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  • Le Collège Spiritus Sanctus lutte contre le gaspillage énergétique

    Reportage« Le Collège Spiritus Sanctus lutte contre le gaspillage énergétique. L’institution n’a toutefois pas attendu la crise pour revoir sa consommation à la baisse. Reportage à Brigue. » Une salle de classe fraîche pour garder la tête froide. Le catalogue de mesures d'économie d'énergie du canton s'applique bien sûr aussi au Collège Spiritus Sanctus de Brigue. L'établissement d'enseignement haut-valaisan, qui accueille 900 élèves, 90 enseignants et une trentaine d’autres employés, s’étend aujourd’hui sur huit bâtiments. Les infrastructures les plus anciennes datent du 17e siècle. Les plus récentes ont été inaugurées en 2005. Economiser l’énergie représente un véritable défi, car les infrastructures ont été construites à des époques très différentes, et chacune d’elles a ses spécificités. De plus, impossible de tout gérer de manière intégrée en appuyant simplement sur un seul bouton. Comme conséquence directe des mesures d'économie décidées en automne, le chauffage a été réglé à vingt degrés, en particulier dans les salles de classe, et l'éclairage extérieur est éteint la nuit. Une autre mesure immédiate a consisté à sensibiliser spécifiquement le personnel du collège et les élèves aux bonnes pratiques énergétiques.   ©KSSB Gerhard Schmidt Mais au collège de Brigue, on n'a pas attendu le risque de pénurie pour agir. Le recteur Gerhard Schmidt est très sensible au thème de l'énergie, que ce soit sur le campus ou dans les cours : « Ce matin, avant notre rencontre pour Vis-à-vis, j'avais par hasard un cours à donner. Nous y avons abordé le thème de l'alimentation, qui est en effet très fortement lié au thème de l'énergie, de la responsabilité personnelle et de l'action individuelle. » Concrètement, il s'agissait du prix des menus à la cantine. Pour certains, les repas y sont trop chers. Le recteur et professeur de biologie Gerhard Schmidt a alors décortiqué le prix du menu en classe. La question était simple : comment le prix du menu est-il calculé ? « Je leur ai dit en gros que nous pourrions sans problème proposer le menu à la cantine à un prix inférieur de 1,50 franc par exemple. Donc 8,50 francs au lieu de 10 francs. Comment ? Nous achetons de la viande en promotion d'Amérique du Sud et augmentons ainsi notre bilan CO2 au lieu de l'acheter ici. Nous offrons à nos collaborateurs de la cantine, qui sont pour la plupart des frontaliers, un salaire très bas. Nous faisons pression sur les conditions de la caisse de pension, etc. Du coup, le prix du menu va baisser de 1 ou 2 francs. Je leur ai ensuite demandé ouvertement : est-ce que vous voulez cela ? Leur réponse ne s'est pas fait attendre : non, pas vraiment. La valeur ajoutée que nous avons ici a un coût. On ne peut pas avoir des conditions de travail locales, écologiques et équitables et payer un prix bas pour cela. Cela ne correspond pas à notre philosophie. »     On ne peut pas avoir des conditions de travail locales, écologiques et équitables et payer un prix bas pour cela. En matière d'énergie, la philosophie du Collège Spiritus Sanctus va plus loin encore : il s’agit d’avancer par de petits pas qui produisent un grand impact, que ce soit justement pour l'enseignement ou l'infrastructure. L'ancien concierge du Collège, Ivan Tenisch, travaille aujourd'hui au Service immobilier et patrimoine du canton du Valais. Le recteur décrit son ancien collaborateur comme étant quelqu’un qui a toujours été très ouvert aux questions énergétiques. Et effectivement, les deux hommes n'ont pas attendu la situation tendue de 2022 pour agir sur le plan énergétique au sein de l'infrastructure éducative. ©KSSB « Nous avons en fait commencé assez tôt, avec des étapes à première vue petites, mais régulières. Dans l'ancienne construction en terrasses qui date des années 70, nous avons par exemple remplacé chaque année depuis 2016 une partie de l'éclairage des salles de classe et des couloirs. Aujourd'hui, toutes les salles de classe sont équipées de lampes LED. Auparavant, chaque source lumineuse consommait environ cinquante watts, contre dix watts aujourd'hui. La consommation d'énergie pour l'éclairage de l'ensemble du bâtiment a donc été divisée par cinq », explique Tenisch.   L'église du collège et l'aile historique attenante à l'église datent du 17e siècle. Les couloirs sont interminables et les plafonds hauts. Du point de vue énergétique, c'est l'horreur, ou presque ! Dans de tels bâtiments, il est beaucoup plus compliqué d’agir. Mais ici aussi, la technique d'éclairage moderne a permis de réaliser quelques économies : « Les six « lustres » de l'église ont chacun 56 ampoules. Chacune de ces ampoules consommait auparavant 60 watts. Aujourd'hui, il n'y a plus que des ampoules LED qui consomment six watts. De plus, en raison des mesures d'économie cantonales, le chauffage est réduit au strict minimum », poursuit Tenisch.   De retour dans le bureau plutôt frais du recteur, nous réalisons avec lui que la gestion de l'énergie est un vaste processus continu, avec de petites et de grandes étapes, et qu’en réalité, les conditions-cadres sont aujourd'hui plus idéales que jamais pour avancer dans ce processus. « Il y a quatre ans, nous avons introduit la règle selon laquelle les voyages culturels ne se font plus en avion, sauf pour l'option spécifique espagnol, car il n'y a pas encore de train de nuit pour l'Espagne. Au début, cela a provoqué quelques remous. Puis, tout le monde l'a accepté. Dans la mesure du possible, nous essayons toujours de commencer petit. Nous encourageons notre personnel à se rendre sur la colline de la formation avec les transports publics. C'est un processus qui, comme beaucoup d'autres, ne se fait pas du jour au lendemain. » Et bien sûr, à côté des petites mesures du quotidien, il faut aussi des investissements importants et tournés vers l'avenir pour pouvoir économiser de l'énergie. Surtout quand on doit gérer huit bâtiments. Ainsi, toutes les fenêtres de l'aile centrale ont été remplacées dernièrement pour plusieurs centaines de milliers de francs. En 2020, l’assainissement énergétique de la maison de la musique - un bâtiment datant de l'époque Stockalper - a nécessité plus d’un million de francs. En mars 2023 débutera la transformation du bâtiment de la cantine. Pour plusieurs millions de francs, le bâtiment sera mis à jour en fonction des besoins des utilisateurs, mais aussi des exigences énergétiques. Une installation de production d'énergie solaire prendra place sur le toit. Un réseau régional de chauffage à distance, auquel le campus serait également raccordé, est dans le pipeline et le rectorat est conscient que le « gouffre énergétique » que constitue le bâtiment en terrasse des années 70 devra lui aussi être rénové dans un avenir proche. ©KSSB Les projets, petits et grands, ne manquent donc pas et nous sommes sur la bonne voie selon le recteur Schmidt, notamment parce que les gens sont plus sensibles aujourd'hui : « Pensez à la guerre du Kippour en 1973 ; l'année suivante, il y a eu tout simplement huit dimanches sans voiture, tant la population était sensibilisée. Avec le conflit en Ukraine et l'augmentation des prix de l'énergie, les gens sont à nouveau sensibles aux questions énergétiques. Il y a des hauts et des bas. L'important est de faire des choses durables maintenant pour qu'elles ne soient plus remises en question dans dix ans. » Économiser l'énergie en appuyant sur un interrupteur reste donc une chose très utile et importante. Mais ce qui est encore plus précieux, c’est d’inscrire ce geste dans la durée. Économiser l'énergie en appuyant sur un interrupteur reste donc une chose très utile et importante. Mais ce qui est encore plus précieux, c’est d’inscrire ce geste dans la durée.   retour Lire la suiteÀ proposLe Collège Spiritus Sanctus lutte contre le gaspillage énergétique »
  • « Rendez-vous au bord du Rhône » : l’exposition qui changera le regard du Valais sur son fleuve emblématique

    Reportage« Rendez-vous au bord du Rhône » : l’exposition qui changera le regard du Valais sur son fleuve emblématique Les visuels, les personnages, le mobilier central… tout est en place ! En cette fin août, l’exposition « Rendez-vous au bord du Rhône » est prête à accueillir son public. Itinérante, l’exposition débute sa tournée valaisanne à l’Ecole de commerce et de culture générale (ECCG) de Sierre. A l’entrée, le panneau d’introduction affiche d’emblée la couleur : « La présence du fleuve est un atout, et son réaménagement une chance pour notre qualité de vie au 21e siècle ». Ici, l’exposition met surtout l’accent sur la dimension écologique et socio-économique de Rhône 3, moins sur ses enjeux sécuritaires. « Il y a cette volonté de montrer que Rhône 3 est certes un projet sécuritaire. Mais il ne se résume pas à ce seul objectif. Au vu du changement climatique, c’est aussi une opportunité en termes de biodiversité et d’espace public comme site de ressourcement pour la population », souligne la porteuse du projet Marianne Thomann, spécialiste territoire et paysage au SDANA. La présence du fleuve est un atout, et son réaménagement une chance pour notre qualité de vie au 21e siècle « Rendez-vous au bord du Rhône » s’inscrit dans le cadre de l’Agenda 2030. Le projet a été sélectionné en 2021 à l’issue d’un appel à projets lancé au sein de l’administration cantonale. « C’est un projet exemplaire, se félicite Christel Dischinger, la coordinatrice des appels à projets pour la Fondation pour le développement durable des régions de montagne (FDDM). Il permettra à la jeunesse de s’approprier le fleuve. C’est aussi un projet exemplaire en termes de partenariat ». Marianne Thomann Ce qui est spécial ici, c’est de collaborer avec des services avec lesquels nous n’avons pas l’habitude d’échanger, se réjouit Marianne Thomann Sous l’égide du SDANA et avec le soutien de la FDDM, pas moins de quatre services de l’Etat ont été associés à la démarche. « Ce qui est spécial ici, c’est de collaborer avec des services avec lesquels nous n’avons pas l’habitude d’échanger, se réjouit Marianne Thomann. Avec le Service de l’enseignement (SE) et le Service de la culture (SC), c’était une première pour moi. Avec le Service du développement territorial (SDT) et le Service des forêts, de la nature et du paysage (SFNP), on collabore sur les dossiers courants, mais rarement, voire jamais sur un projet commun ». D’autres ressources ont encore été mises à contribution : La Fédération des communes valaisannes (FCV), l’Association mémoires du Rhône, l’entreprise CréActif, l’Ecole Professionnelle des Arts Contemporains (EPAC) et BASE, le bureau lauréat du concours pour les espaces publics du Rhône. « La transversalité et les partenariats revêtent beaucoup d’importance en matière de durabilité, explique Christel Dischinger. On doit travailler avec différents acteurs, privés ou publics, ainsi que sur différentes thématiques. Il faut œuvrer ensemble. C’est ainsi que naissent les solutions durables ». « Rendez-vous au bord du Rhône » s’adresse en premier lieu aux étudiants et apprentis du canton. C’est Stéphane Dayer, chargé de projet Ecole-Economie au Service de l’enseignement, qui a assumé un rôle pivot avec les établissements scolaires valaisans : « Mon premier travail a été d’adapter les textes de l’exposition à notre public. J’ai ensuite préparé un support de cours pour le corps enseignant ». Car en amont, les visites seront soigneusement préparées. Il sera question de l’histoire du fleuve et des contours de l’exposition. Suite à la visite, les étudiants sont invités à participer à un concours d’idées concernant l’aménagement de certains secteurs des berges du Rhône. « La collaboration avec le Service de l’enseignement a été extrêmement bénéfique et même indispensable, sans quoi nous aurions pu louper notre cible », relève la géographe Marianne Thomann. A Sierre, l’exposition occupe 30 m2. Modulable, l’espace a toutefois été conçu pour s’adapter aux différents sites étapes. Seul impératif : une classe d’une vingtaine de personnes doit pouvoir y circuler. « La scénographie a été réalisée par le bureau d’étude CréActif, précise Marianne Thomann. Des panneaux recto verso permettent une bonne distribution des gens, même en des lieux plus compacts ». L’exposition se veut interactive, via un jeu et une tablette digitale. Elle fait aussi appel au toucher. « Au centre de l’expo, une table présente des matériaux issus du Rhône. On y trouve des échantillons de pierre, de terre et de bois. Le public a tout loisir de les toucher ».   Au centre de l’expo, une table présente des matériaux issus du Rhône. On y trouve des échantillons de pierre, de terre et de bois. Le public a tout loisir de les toucher Et pour donner vie à cette exposition, une série de personnages habitent les lieux : une cycliste, un pêcheur, une ingénieure, un grand-père et sa petite fille ou encore des jeunes en rollers. Ces illustrations ont été créées à Saxon, à l’Ecole Professionnelle des Arts Contemporains. L’EPAC avait pour mandat de s’adresser aux jeunes. « Nos étudiantes et étudiants ont entre 18 et 22 ans. Du coup, ils ont l’avantage d’être proches de ce public cible. Pour parler à la jeunesse, on privilégie un style proche du cartoon ou du manga, avec des teintes assez colorées », explique le professeur Jordan Espagne qui a accompagné le projet.   Pour parler à la jeunesse, on privilégie un style proche du cartoon ou du manga, avec des teintes assez colorées Résultat d’un véritable travail d’équipe, l’exposition séduit. Solidement documentée, elle présente le fleuve et ses berges sous un jour nouveau, un Rhône plus accessible que jamais. « Dans les endroits propices et en dehors des périodes sensibles pour la faune (reproduction, parade, migration, …), il sera possible de s'approcher du cours d'eau par une grève naturelle ou des blocs de pierre. Les berges du Rhône deviendront un espace de loisirs et de détente, un lieu de vie, un lieu de rendez-vous », promet l’exposition. Que les gens en parlent, que l’exposition questionne, qu’elle suscite le débat feront aussi sa réussite « Rendez-vous au bord du Rhône » s’adresse également au grand public. La présentation attend ainsi la visite de très nombreuses personnes. L’affluence participera au succès de l’exposition, mais d’autres critères compteront tout autant. « Que les gens en parlent, que l’exposition questionne, qu’elle suscite le débat feront aussi sa réussite », ajoute Marianne Thomann. « Rendez-vous au bord du Rhône » fait halte à Sierre jusqu’à la fin septembre. Puis ce sera au tour de Martigny, Viège, St-Maurice, Brigue et Sion. Monthey mettra un terme à cette tournée cantonale l’automne prochain. Pour sûr, le Valais portera bientôt un autre regard sur son Rhône. Plus d’infos sur www.vs.ch/sdana   retour Lire la suiteÀ propos« Rendez-vous au bord du Rhône » : l’exposition qui changera le regard du Valais sur son fleuve emblématique »
  • Des personnes en situation de handicap numérisent les déclarations fiscales des contribuables valaisans. La prestation porte sur six millions de pages par année. Découverte.

    Le Service cantonal des contributions collabore avec deux institutions sociales pour la numérisation de nos déclarations fiscales. Chaque année, des millions de documents sont ainsi scannés par des personnes en situation de handicap. Reportage aux Ateliers St-Hubert de Sion et à l’Atelier Manus à Brigue.  Lire la suiteÀ proposDes personnes en situation de handicap numérisent les déclarations fiscales des contribuables valaisans. La prestation porte sur six millions de pages par année. Découverte. »
  • Grand-Brûlé : centenaire et toujours à l’avant-garde de la vitiviniculture valaisanne

    Au Grand-Brûlé, le millésime 2021 fera date. Le domaine viticole de l’Etat du Valais a vécu cet automne ses centièmes vendanges, et ce pour la première fois sous la houlette d’une femme. Sécateur à la main, Vis-à-Vis parcourt 100 ans de la vitiviniculture valaisanne. Echanges à la vigne et au pressoir avec la nouvelle cheffe de culture Angélique Délèze et le maître-caviste Eddy Dorsaz. Lire la suiteÀ proposGrand-Brûlé : centenaire et toujours à l’avant-garde de la vitiviniculture valaisanne »
  • Fromager, tout un art !

    Chaque printemps, le canton du Valais propose des cours sur le fromage à Châteauneuf. Ils sont dispensés par Eric Masseraz, responsable cantonal de l’économie laitière, qui conseille aussi ses élèves après la formation théorique lors de leurs stages dans les alpages valaisans. Nous l’avons accompagné lors d’un contrôle à l’alpage du Plan-de-la-Chaux, dans le val Ferret. Lire la suiteÀ proposFromager, tout un art ! »
  • Elections cantonales 2021

    En mars, la population valaisanne a élu les cinq membres du Conseil d’Etat, ainsi que ceux du Parlement. Le Service de l’information de la Chancellerie d’Etat a de nouveau mis sur pied un centre de presse, un lieu de rencontre pour les candidats, les acteurs politiques et les journalistes. En raison de la pandémie du coronavirus, la situation était toutefois un peu différente cette année. Petit tour d’horizon en texte et en images. Lire la suiteÀ proposElections cantonales 2021 »
  • Lutte contre le Covid-19: à la rencontre des personnes qui sont au front

    La deuxième vague de coronavirus s’abat sur la Suisse. Le Valais, fortement impacté, a été l’un des premiers cantons à prendre des mesures restrictives pour faire face à cette crise. Cela a non seulement suscité de nombreuses questions de la population, mais aussi posé de nouveaux défis au canton. Prise de température au cœur d’une crise sanitaire qui dure depuis presque une année. Lire la suiteÀ proposLutte contre le Covid-19: à la rencontre des personnes qui sont au front »
  • Les huissiers au service du Gouvernement

    A chaque fois que le Gouvernement cantonal est en représentation officielle, les huissiers sont de la partie, parés de leur tenue rouge et blanc. Polyvalents, ils font également office de chauffeurs et veillent au bon fonctionnement du service postal au sein de l’administration cantonale valaisanne. Nous les avons accompagnés dans leur travail. Lire la suiteÀ proposLes huissiers au service du Gouvernement »
  • Elections fédérales : un tour dans les coulisses

    Le 20 octobre, les Valaisannes et les Valaisans ont élu leurs représentants pour les quatre prochaines années au Conseil national. Ce jour-là s’est également déroulé le premier tour de l’élection au Conseil des Etats. La population a pu suivre les résultats en temps réel sur le site internet du canton. En parallèle, des journalistes travaillaient en direct du centre de presse de l’Etat du Valais à Sion qui, en ce dimanche électoral, a servi de plateforme commune aux représentants des médias et aux acteurs politiques. L’organisation de ces prestations a nécessité un important travail technique et administratif de la part de plusieurs services cantonaux. Découvrez dans notre reportage leurs secrets pour la réussite de cette journée importante. Lire la suiteÀ proposElections fédérales : un tour dans les coulisses »

Portrait

  • Damian Locher - En voiture avec un coccinophile

    PortraitDamian Locher - En voiture avec un coccinophile  Ma Cox a parcouru des centaines de milliers de kilomètres A l’allumage, elle démarre du premier coup. Comme à ses débuts. La Coccinelle de Damian Locher a pourtant déjà vu du pays depuis sa sortie des usines Volkswagen à la fin des années soixante. « Ma Cox a parcouru des centaines de milliers de kilomètres », relève l’heureux propriétaire, « mais difficile d’être plus précis, le compteur repartant à zéro tous les 99'999 km ».   La Cox en question a été mise en circulation en 1968. Sous le capot de ce modèle T1, un moteur de 1300 cm3 d’une puissance de 40 chevaux. « Elle peut rouler à 130 km/h maximum, mais je préfère rouler lentement, jamais au-dessus des 100 km/h », précise Damian. Particularité du célèbre modèle VW : le moteur de cette voiture à propulsion se trouve à l’arrière. Pour le reste, pas de ceinture, ni d’appuie-tête et encore moins d’air bag : la Coccinelle témoigne d’une autre époque. Fin des présentations. Il est temps d’embarquer. En ce lundi matin, Damian Locher se rend à son travail. A ses côtés, sur le siège passager, nous quittons La Souste pour Sion.    Damian vit pleinement sa passion. Jusque dans le cambouis : « Tout ce qui est mécanique, je le fais moi-même. » Autodidacte, il a déjà restauré trois Coccinelle. Sortir le moteur, changer l’embrayage, réparer les freins à tambour : rien ne l’arrête. Et pour chaque intervention, toujours la même approche : le travail doit être fait à l’identique. « Sur ce véhicule, nous roulons avec un moteur original à 100%. Lorsque je retape une voiture, je veille à respecter son authenticité. Je recherche les pièces d’origine. » Et face à une panne, Damian ne lâche rien : « Je peux consacrer des dizaines d’heures pour résoudre un problème. » Tout ce qui est mécanique, je le fais moi-même. Je peux consacrer des dizaines d’heures pour résoudre un problème. Ses fans sont unanimes : une Coccinelle émet un son caractéristique. Le moteur ne rugit, ni ne vrombit, il ronronne. Damian y est particulièrement sensible. Souvenirs d’enfance : « Petit, faute de siège enfant, mes parents me couchaient à l’arrière, sous le hayon. La chaleur du moteur et la régularité de ses vibrations me faisaient somnoler. » A travers Finges, sur le chemin de la capitale, Damian nous fait apprécier l’ambiance sonore de l’habitacle. Apaisante, il est vrai. « Rien qu’au son du moteur, je peux différencier un bus d’une voiture Coccinelle et deviner le modèle », affirme Damian. « Je peux reconnaître un VW Bus T3, un VW Bus T2, les yeux fermés. » Comme quoi, le mythe de la Cox ne tient pas uniquement aux courbes de sa carrosserie. Passionné, c’est certain. Collectionneur, en aucun cas : « Ma Cox, je l’utilise en toutes circonstances et par tous les temps. » Damian sort sa T1 pour le travail, comme aujourd’hui, mais également pour monter sur les alpages. Dans son approche, une Coccinelle – même ancienne – reste avant tout une voiture, dont la finalité n’est autre que de rouler. « Elle a des bosses et des raies. A passé cinquante ans, elle a vécu et ça se voit. C’est une voiture qui vit. » Pour sûr, le Haut-Valaisan n’est pas du genre à sacraliser un véhicule ou à verser dans l’anthropomorphisme. Sa Cox ne portera jamais de surnom. « Choupette », référence à l’héroïne de la série produite par Walt Disney Pictures, trop peu pour lui. Expert-comptable diplômé, Damian Locher travaille au sein de l’Administration cantonale des finances. Comptes et budgets occupent son quotidien. Et si vous cherchez le rapport entre chiffres et mécanique, l’adjoint au chef de service vous répondra : « La logique ! Au bureau comme à mon atelier, je cherche à comprendre. Et dans ces deux domaines, tout s’explique. Le fonctionnement d’un moteur suit une certaine logique. » Fils de chauffeur et frère de mécanicien, Damian n’en demeure pas moins convaincu de son choix professionnel. Mon père aurait bien aimé que je me lance en mécanique. Mais ma réelle passion, c’est l’univers des chiffres. En mécanique, je carbure au défi. Sans un os à ronger, je m’en lasse.   Sortie Sion Est, nous quittons l’autoroute, direction le cœur de la capitale. Avant la pause hivernale, Damian se délecte de chaque instant passé au volant de sa Coccinelle. Car dès les premiers flocons, il rangera sa VW au garage : « Le problème, c’est le sel et les risques de corrosion. La carrosserie reste le point faible de toutes les Coccinelle. Si ça rouille, les réparations sont chères. » L’expert-comptable veille à la dépense. Pendant ce temps, le coccinophile refuse toutes les offres, même les plus alléchantes : « Jamais je ne vendrai ma Cox, même pour 100'000 francs. » Et de conclure : « Elle n’a pas de prix ! » Jamais je ne vendrai ma Cox, même pour 100'000 francs. Elle n’a pas de prix !   retour Lire la suiteÀ proposDamian Locher - En voiture avec un coccinophile »
  • Kevin Raux - Sa quête du passeport suisse

    PortraitKevin Raux - Sa quête du passeport suisse «Je le jure ! » : par ces mots, Kevin Raux est devenu citoyen valaisan. L’assermentation s’est déroulée le 24 mai à la Simplonhalle de Brigue. Régis, son papa, et Celcivane, sa maman, sont à ses côtés. Le moment est intense et solennel. La famille Raux prête serment dans une salle comble – 360 candidats sont présents ce jour-là – devant le conseiller d’Etat Frédéric Favre et la sous-commission « Naturalisation » du Grand Conseil. La cérémonie terminée, Kevin Raux s’est vu remettre son acte d’origine. L’aboutissement d’un long parcours pour cet enfant de Port-Valais. Kevin Raux a vu le jour à Nyon, mais c’est en Valais qu’il a grandi, dès l’âge de quatre ans. Ses parents ont immigré très jeunes en Suisse. Son papa vient du Nord-Pas-de-Calais en France et sa maman de la région de Rio de Janeiro au Brésil. « Jusqu’ici, lorsqu’on me posait la question de mes origines, je me sentais un peu mal à l’aise, de crainte qu’on me colle une étiquette, se souvient le nouveau citoyen valaisan. Cela dit, on ne m’a jamais fait sentir que j’étais étranger, peut-être aussi parce que les gens l’ignoraient ». Titulaire jusqu’ici d’un permis C, Kevin s’est toujours senti bien chez lui en Valais. Sportif assidu, il a porté haut les couleurs de son canton d’adoption. Membre des cadres valaisans de tennis, il a été couronné champion cantonal la saison 2014-2015. Kevin s’est également illustré en karaté avec une médaille de bronze au championnat suisse (2009-2010). Un modèle d’intégration, diront certains. Mais il en faut davantage pour prétendre à la nationalité helvétique. Jusqu’ici, lorsqu’on me posait la question de mes origines, je me sentais un peu mal à l’aise, de crainte qu’on me colle une étiquette, se souvient le nouveau citoyen valaisan. Cela dit, on ne m’a jamais fait sentir que j’étais étranger, peut-être aussi parce que les gens l’ignoraient Du premier entretien à l’obtention du passeport à croix blanche, quatorze étapes attendent tout candidat à une naturalisation dite ordinaire. Certaines phases s’avèrent plus stressantes que d’autres, à l’instar des auditions devant les autorités. Première étape, la commune de domicile : « A Port-Valais, nous avons été convoqués ensemble avec mes parents. Ce fut plus un entretien qu’un examen. On a entre autres échangé sur l’histoire de la Suisse, sa géographie, ses institutions. Tout s’est bien passé », se souvient Kevin. Second oral, le canton. L’audition se passe devant la sous-commission « Naturalisation » du Grand Conseil. Pour notre candidat au passeport suisse, le rendez-vous a tourné court : « Là, je me suis retrouvé seul, sans mes parents, et les questions se sont avérées plus pointues que prévu ». Verdict : c’est l’échec ! « J’ai notamment trébuché sur la question des départements des sept conseillers fédéraux et sur la différence entre Chambre haute et Chambre basse », regrette Kevin. Ce même jour, son papa et sa maman passent avec succès ce grand oral. Là, je me suis retrouvé seul, sans mes parents, et les questions se sont avérées plus pointues que prévu ». Verdict : c’est l’échec ! Si j’avais encore échoué, nous aurions dû recommencer à zéro, y compris mes parents, qui eux avaient pourtant tout réussi du premier coup La deuxième tentative sera la bonne pour Kevin : « Pour le coup, je m’étais vraiment bien préparé. J’ai passé deux mois à tout apprendre par cœur ». Mais ce n’est qu’après les félicitations de ses examinateurs qu’il prendra toute la mesure de l’enjeu : « Si j’avais encore échoué, nous aurions dû recommencer à zéro, y compris mes parents, qui eux avaient pourtant tout réussi du premier coup ». Il en frémit encore. La nationalité suisse se mérite. Mais elle en vaut le prix. Citoyen helvétique à part entière, Kevin a désormais accès aux droits politiques. « Ce fut l’une de mes principales sources de motivation, reconnaît-il. J’adore les débats de société et j’entends bien à présent m’engager politiquement. Mes valeurs ? La liberté d’entreprendre et la cohésion sociale sont des thèmes qui me sont chers ». Notre futur politicien se donne encore le temps de trouver un parti. En attendant, il se réjouit des « toutes premières fois » à venir, en l’occurrence l’assemblée primaire et les votations fédérales. J’adore les débats de société et j’entends bien à présent m’engager politiquement. Dame Helvetia accorde d’une main des droits et fixe de l’autre des devoirs. Servir l’armée en est un. Kevin y voit une belle opportunité : « C’est une chance énorme de pouvoir remplir ses obligations militaires. On y cultive la camaraderie tout en vivant des expériences hors du commun. A choisir, j’aurais une préférence pour l’armée de l’air », précise notre futur soldat. Mais avant son école de recrue, Kevin doit encore terminer son apprentissage d’employé de commerce. « Je viens de passer deux ans à la Chancellerie. Ma troisième et dernière année de formation se passera au SETI, le Service de l’économie, du tourisme et l’innovation ». Franco-brésilien de souche et depuis peu Helvète, Kevin détient désormais trois passeports. Du haut de son mètre 96, il savoure son bonheur: « Je suis né en Suisse, j’ai fait toutes mes écoles en Suisse. Mes racines, elles sont suisses. Je ne vais pas pour autant renier mes origines brésiliennes et françaises». De ses origines plurielles, Kevin entend y puiser sa force, et pour lui, et pour ce Valais qui l’a vu grandir. Je suis né en Suisse, j’ai fait toutes mes écoles en Suisse. Mes racines, elles sont suisses.   retour Lire la suiteÀ proposKevin Raux - Sa quête du passeport suisse »
  • Dubai, sa parenthèse enchantée

    Elle a quitté le Valais pour Dubaï. Au bénéfice d’un congé sabbatique, Stéphanie Denis Darbellay a travaillé durant toute la durée de l’Expo universelle au pavillon suisse. L’expérience a duré sept mois. La spécialiste RH a depuis retrouvé son poste au Département de l’économie et de la formation (DEF). Portrait d’une voyageuse invétérée.  Lire la suiteÀ proposDubai, sa parenthèse enchantée »
  • Un 4000 entre collègues.

    Elle apprécie le grand air et les défis. A 40 ans, Emilie Morard Gaspoz s’est offert un 4000 avec trois collègues du Service de la santé publique. La cordée 100% féminine s’est lancée cet automne sur les pentes de l’Alphubel (4206 m). Portrait d’une femme qui aime repousser ses limites, seule ou en bonne compagnie.  Lire la suiteÀ proposUn 4000 entre collègues. »
  • Petite reine et grandes vacances

    Il a le vélo dans la peau. Yves Degoumois pédale depuis son plus jeune âge, pour se déplacer au quotidien, mais aussi pour voyager. Natif de Bienne, il s’est établi en Valais il y a vingt-deux ans. Yves Degoumois occupe le poste de chef de section des sites pollués, sols et eaux souterraines au Service de l’environnement. Et c’est donc à vélo qu’il se ressource. Adepte des vacances à bicyclette, le Sédunois – accompagné de son épouse et de son cadet – s’est rendu cet été à Zurich. Nous avons pris sa roue sur le col du Sanetsch. Rencontre avec un passionné… Lire la suiteÀ proposPetite reine et grandes vacances »
  • Coucher des vies sur le papier

    Anne-Catherine Biner occupe le poste de documentaliste à l’Office d’orientation scolaire et professionnelle du Valais romand. En parallèle, elle s’est spécialisée sur le recueil et la retransmission de récits de vie. L’auteure a déjà deux livres à son actif et en rédige actuellement un troisième. Son dernier titre, paru l’automne passé, donne la parole à différents professionnels des soins qui racontent leurs expériences et leur quotidien professionnel. Lire la suiteÀ proposCoucher des vies sur le papier »
  • Un jeune homme plein de talent

    Léo Darbellay se décrit comme quelqu’un de timide et d’introverti. Difficile à croire une fois qu’on l’a vu en action sur scène. Ce jeune imitateur sait comment enthousiasmer son public en se glissant dans la peau de grands chanteurs. Cette activité qu’il a commencée pour le plaisir lorsqu’il était enfant est aujourd’hui devenue plus qu’un hobby pour cet agent en information documentaire qui travaille à temps partiel à la Médiathèque de Martigny. Lire la suiteÀ proposUn jeune homme plein de talent »
  • Le pouvoir thérapeutique de la pensée

    Claude-Alain Bitschnau peut traiter à distance certaines douleurs physiques ou psychiques en murmurant une formule. Il pratique ce qu’on appelle « le secret ». Ce père de famille pragmatique travaille trois jours par semaine comme technicien au Service cantonal de l’informatique. Les deux autres jours de la semaine, il s’occupe du bien-être de ses patients dans son espace de soins à Bramois. Lire la suiteÀ proposLe pouvoir thérapeutique de la pensée »
  • Un architecte qui a plusieurs cordes à son arc

    Il n’est pas rare qu’au cours de leur carrière les architectes doivent créer un décor pour des opéras, des théâtres ou des comédies musicales. Outre la réflexion spatiale et des connaissances techniques, cette tâche demande aussi de l’expression artistique. C’est un défi qui convient parfaitement à Norbert Russi, adjoint et remplaçant de l’architecte cantonal, qui, pendant ses loisirs, aime laisser libre cours à sa créativité en créant des décors de théâtre et des mises en scène pour des spectacles. Lire la suiteÀ proposUn architecte qui a plusieurs cordes à son arc »
  • Pèlerin pour une bonne cause

    Deux ans, et 1100 kilomètres à pied. Raphaël Farquet, policier et ancien garde du Pape, s'est lancé dans une aventure qui, pour beaucoup, est synonyme d’épreuves et de souffrances. Cet homme a décidé de partir le long de la Via Francigena, qui relie l'Angleterre à Rome, pour soutenir les familles romandes d'enfants atteints d'un cancer. Lire la suiteÀ proposPèlerin pour une bonne cause »

En visite

  • à La Bâtiaz

    La Bâtiaz : son quartier, son château. La bourgade jouit d’une belle renommée, bien au-delà de Martigny. Octodurienne pur sucre et collaboratrice spécialisée au Service cantonal de l’agriculture (SCA), Sandra Moulin-Michellod nous invite à découvrir « sa » Bâtiaz, un lieu empreint de souvenirs d’enfance. Lire la suiteÀ proposà La Bâtiaz »
  • à Gondo

    «Gondo, ce n’est pas que les intempéries. C’est bien plus que cela». Yannick Squaratti, cantonnier et conseiller communal, nous fait découvrir les trésors cachés du village. Lire la suiteÀ proposà Gondo »
  • à Miège

    Cap sur Miège. Le juge Patrick Schriber nous emmène à la découverte de son village d’adoption. L’homme de loi siège au Tribunal des mesures de contrainte (TMC) et au Tribunal de l’application des peines et mesures (TAPEM) à Sion. Natif de Sierre, Patrick Schriber a quitté la plaine pour le coteau en 2001. A Miège, le quinquagénaire s’y sent bien. Il apprécie l’esprit « joyeux et festif » de ses habitants et le dynamisme des sociétés locales. Bienvenue en terre « calabraise ».  Lire la suiteÀ proposà Miège »
  • à Collombey-Muraz

    Montheysan de souche, Yves Cretton vit sur la commune voisine de Collombey-Muraz, aux Neyres plus précisément. Le Chablaisien goûte aux plaisirs du lieu depuis 20 ans. Sur le plan professionnel, Yves Cretton est rattaché au Service des Hautes Ecoles en tant que responsable de la centrale cantonale des moyens d’enseignement. Guide d’un jour, il nous fait découvrir Collombey-Muraz sous un visage nouveau.  Lire la suiteÀ proposà Collombey-Muraz »
  • à Binn

    Hubert Gorsatt a grandi à Binn. Bien que ce cantonnier réside depuis de nombreuses années dans la commune de Fieschertal, il passe beaucoup de temps dans son chalet d’alpage au sommet du Binntal. Lire la suiteÀ proposà Binn »
  • à Sion

    Il n’y a parfois pas besoin d’aller très loin pour se sentir en vacances… Sion a comme un air d’Italie pour Ismaël Grosjean qui nous fait découvrir des petits coins de paradis de la capitale valaisanne. Lire la suiteÀ proposà Sion »
  • St-Maurice

    Saint-Maurice est le joyau culturel de la région du Chablais et des Portes du Soleil. Son importance historique en fait un but d’excursion apprécié des passionnés d’histoire, mais pas seulement. Philippe Dubois sait lui aussi apprécier à sa juste valeur son lieu d’origine et de domicile. Ce qui lui plaît particulièrement, c’est la manière dont la commune parvient à allier les caractéristiques d’un village idyllique et d’une petite ville. Lire la suiteÀ proposSt-Maurice »
  • à Albinen

    Le village d’Albinen offre un panorama fantastique. Son orientation au sud-ouest, qui lui fait bénéficier de nombreuses heures d’ensoleillement, est un atout. Cependant, comme de nombreuses autres régions périphériques, il doit lutter contre l’exode de sa population et le déclin du tourisme. Fabio Kuonen est très attaché à son lieu d’origine. Il s’engage pour faire revivre ce village de montagne. Lire la suiteÀ proposà Albinen »
  • aux Mayens-de-Sion

    Si les Mayens-de-Sion servaient autrefois de résidence estivale pour les bourgeois de Sion, ils comptent aujourd’hui des habitants à l’année – même s’ils sont peu nombreux. Isabelle Theytaz Reuteler fait partie de la trentaine de personnes qui y vivent de façon permanente. Elle nous fait découvrir ce morceau de paradis en nous présentant l’histoire de l’endroit. Lire la suiteÀ proposaux Mayens-de-Sion »
  • à Salquenen

    Situé dans un cadre idyllique, au cœur du vignoble, le village de Salquenen compte plus de 40 caves et de nombreux vins primés. De nombreuses personnes le considèrent d’ailleurs comme le village viticole de Suisse. Valentin Cina, chef de l’Office cantonal de la protection civile, est originaire de Salquenen. Il aime non seulement le vin qui y est produit, mais aussi le fait que ce village relie le Haut-Valais et le Bas-Valais. Lire la suiteÀ proposà Salquenen »

Dialogues

Info

  • Office cantonal de l’égalité et de la famille - Nomination de la nouvelle cheffe

    Info: Office cantonal de l'égalité et de la famille Office cantonal de l’égalité et de la famille - Nomination de la nouvelle cheffe Le Conseil d’Etat a nommé Katy Solioz-François au poste de cheffe de l’Office cantonal de l’égalité et de la famille (OCEF). Actuellement responsable du dispositif des compétences de base du Service social de la Ville de Lausanne, elle prendra ses fonctions le 1er mai 2023. Elle succède à Isabelle Darbellay Métrailler qui a récemment annoncé sa démission. Domiciliée à Massongex, Katy Solioz-François a effectué une maturité gymnasiale au Collège de l’Abbaye de Saint-Maurice avant de poursuivre ses études à l’Université de Lausanne, où elle a obtenu un master en sciences sociales, orientation Anthropologie culturelle et sociale. Elle est également au bénéfice d’un brevet fédéral de formatrice d’adultes et a suivi diverses formations, notamment en gestion de projets. Katy Solioz-François a travaillé en tant que chargée de missions au sein du pôle Migrations féminines du Bureau cantonal pour l’intégration des étrangers et la prévention du racisme du canton de Vaud, ainsi qu’à l’Organisation suisse d’aide aux réfugiés (OSAR) en tant que responsable de projets et formatrice. Elle est actuellement responsable du dispositif des compétences de base du Service social de la Ville de Lausanne. Au bénéfice d’une solide expérience de gestion de projet dans les domaines de la migration, de l’intégration et du genre dans des environnements publics et associatifs, Katy Solioz-François possède également de bonnes connaissances du fonctionnement de l’administration publique. Katy Solioz-François entrera en fonction le 1er mai 2023.   Retour Lire la suiteÀ proposOffice cantonal de l’égalité et de la famille - Nomination de la nouvelle cheffe »
  • Organisation cantonale valaisanne des secours (OCVS) - Nomination de la nouvelle présidente

    Info: Département de la santé, des affaires sociales et de la culture Le Conseil d’Etat a nommé Dr. med. Njomeza Susuri Pfammatter en tant que présidente du conseil d’administration de l’Organisation cantonale valaisanne des secours (OCVS) dès le 1er janvier 2023. Médecin spécialisée en médecine interne et en cardiologie à l’Hôpital de l’Ile à Berne ainsi qu’au centre hospitalier du Haut-Valais (SZO), elle remplacera Fritz Anthamatten, qui a fait part de sa démission pour la fin de l’année 2022. Njomeza Susuri Pfammatter a effectué sa maturité gymnasiale au collège de Brigue et a suivi des études de médecine auprès des universités de Fribourg et de Berne, où elle a obtenu son master en 2012. Durant son cursus universitaire, elle a notamment travaillé au SAMU de Paris. En 2020, Njomeza Susuri Pfammatter devient la première femme en Suisse à suivre la formation en cardiologie invasive à l’Hôpital de l’Ile de Berne. Elle suit actuellement un CAS en management de la santé à l’Université de Berne. Résidente de la commune de Naters, Njomeza Susuri Pfammatter a débuté sa carrière en tant que médecin assistante à l’hôpital de Viège en gynécologie et pédiatrie avant de travailler à l’Hôpital de l’IIe de Berne en cardiologie, en médecine intensive et en médecine interne. Elle est actuellement cheffe de clinique en cardiologie invasive à l’Hôpital de l’Ile de Berne et médecin adjointe en cardiologie au Centre hospitalier du Haut-Valais (SZO). Cette nomination fait suite à la démission de Fritz Anthamatten, qui a annoncé en début d’année sa volonté de quitter le conseil d’administration de l’OCVS et sa présidence pour la fin de l’année 2022.     Retour Lire la suiteÀ proposOrganisation cantonale valaisanne des secours (OCVS) - Nomination de la nouvelle présidente »
  • Economies d’énergie au bureau : les bonnes pratiques s’affichent

    Info: Energie Economies d’énergie au bureau : les bonnes pratiques s’affichent Afin de limiter les risques de pénurie, dans un contexte où l’approvisionnement énergétique pourrait être tendu au cours de l'hiver 2022/2023, la contribution de chacune et de chacun est importante. C’est pourquoi, deux affiches résumant les bonnes pratiques afin d’économiser de l’énergie dans les bureaux sont à disposition sur la page Intranet de l’Etat du Valais dédiée à cette thématique. Elles peuvent y être téléchargées afin de les afficher.   Pour rappel, le 14 septembre dernier, le Conseil d’Etat a décidé un catalogue de mesures afin d’économiser de l’énergie. Celles-ci concernent notamment le chauffage des bâtiments publics, qui ne devra pas dépasser 20°C (valeur 3 de la vanne thermostatique), et leur éclairage, le matériel informatique ainsi que les autres appareils électriques utilisés au sein de l’Etat du Valais. Cette action entreprise par l’Etat s’inscrit dans une démarche nationale. La Confédération a lancé une campagne intitulée : « L’énergie est limitée. Ne la gaspillons pas. » afin de sensibiliser la population aux économies d’énergie.     Retour Lire la suiteÀ proposEconomies d’énergie au bureau : les bonnes pratiques s’affichent »
  • Jubilaires

    Info: Présidence Jubilaires Ils ont passé le cap de 25, 30, 35 ou encore 40 ans d’activité en 2022 : 320 collaborateurs de l’administration cantonale ont été conviés à la cérémonie annuelle de reconnaissance de fidélité. La réception s’est déroulée le 25 novembre au Centre culturel « La Poste » à Viège en présence des membres du gouvernement. Les jubilaires se sont prêtés à une séance photos aux côtés de leur chef de département. La soprano Franziska Heinzen et le pianiste Benjamin Mead ont assuré les intermèdes musicaux. Retrouvez les moments forts de la soirée en images :                             Previous Next ©Christian Pfammatter     Retour Lire la suiteÀ proposJubilaires »
  • Office de la vigne et du vin - Nomination de la nouvelle cheffe d’office

    Info: Service de l'agriculture L’Office de la viticulture se réorganise et devient l’Office de la vigne et du vin à partir du 1er janvier 2023. Actuellement œnologue cantonale, Nadine Pfenninger-Bridy a été nommée par le Conseil d’Etat au poste de cheffe de l’Office de la vigne et du vin et œnologue cantonale. Elle prendra cette fonction le 1er janvier 2023. Afin de renforcer la politique intégrée de l’ensemble de la branche et la cohérence de la vision « de la vigne au verre », l’Office de la viticulture a été réorganisé et devient l’Office de la vigne et du vin. Nadine Pfenninger-Bridy en sera la nouvelle cheffe. Â âgée de 52 ans, originaire de Leytron et diplômée en œnologie de l’Ecole supérieure de Changins, elle œuvre actuellement en qualité d’œnologue cantonale et responsable du secteur qualité et traçabilité des vins auprès du Service de l’agriculture. Auparavant, elle a été assistante de l’œnologue cantonal de l’Etat de Vaud, avant de travailler ces dernières années comme œnologue-conseil indépendante en Valais. Elle est également conseillère municipale de la nouvelle commune de Noble-Contrée. De par son parcours ainsi que son expérience professionnelle notamment en qualité d’œnologue cantonale, Nadine Pfenninger-Bridy dispose d’une très bonne vision globale des défis techniques, structurels et économiques de la vitiviniculture valaisanne. Dotée d’un sens des relations humaines, d’une capacité d’écoute ainsi que d’excellentes aptitudes d’analyse et de réflexion, elle a su démontrer dans sa fonction actuelle sa capacité à fédérer et à dynamiser les acteurs et les équipes autour d’une vision commune. En parallèle à sa fonction de cheffe de l’Office de la vigne et du vin, Nadine Pfenninger-Bridy conservera sa fonction d’œnologue cantonale et continuera à conduire le secteur qualité et traçabilité des vins, dont dépend le laboratoire d’œnologie. Afin de renforcer la direction de l’Office de la vigne et du vin, le Conseil d’Etat a décidé de créer un poste d’adjoint à la cheffe d’office, qui sera mis au concours prochainement.     Retour Lire la suiteÀ proposOffice de la vigne et du vin - Nomination de la nouvelle cheffe d’office »
  • Nomination de l’archiviste cantonale et de la cheffe de la Section de l’encouragement des activités culturelles

    Info: Service de la culture Nomination de l’archiviste cantonale et de la cheffe de la Section de l’encouragement des activités culturelles Le Conseil d’Etat a nommé Fabienne Lutz-Studer au poste d’archiviste cantonale et directrice des Archives de l’Etat du Valais. La Haut-Valaisanne entrera en fonction le 1er janvier 2023 et succèdera ainsi à Alain Dubois, qui a pris la tête du Service de la culture le 1er novembre dernier. La Section de l’encouragement des activités culturelles sera, elle, dirigée par Magali Barras dès le 1er avril 2023. Ce poste était vacant suite au départ d’Hélène Joye-Cagnard en septembre 2022. Suite à la prise de fonction d’Alain Dubois à la tête du Service de la culture au début novembre 2022, le Conseil d’Etat a nommé Fabienne Lutz-Studer au poste de directrice des Archives de l’Etat du Valais (AEV). Actuelle cheffe de groupe « Gestion de l’information » auprès de l’office cantonal, la native de Glis prendra ses fonctions de directrice des AEV en janvier 2023. Titulaire d’un Master en Histoire auprès de l’Université de Berne, Fabienne Lutz-Studer est également détentrice d’un diplôme postgrade en Sciences de l’information obtenu à la Haute Ecole spécialisée des Grisons. Après une expérience de quelques années en tant que collaboratrice scientifique auprès des Archives de l’Etat de Zurich, Fabienne Lutz-Studer intègre les AEV en 2015 en qualité d’archiviste - records manager, avant de devenir cheffe de groupe en 2021. Son parcours professionnel l’a habituée à travailler avec des publics très divers, tels que les services de l’administration cantonale, les communes, des déposants privés, des associations, des entreprises, des chercheurs, des étudiants, etc.     Le Conseil d’Etat a également procédé à la nomination de Magali Barras à la tête de la Section de l’encouragement des activités culturelles (EAC), dont la direction était vacante à la suite du départ d’Hélène Joye-Cagnard à la fin septembre. Magali Barras prendra ses fonctions le 1er avril 2023. Titulaire d’une licence ès Lettres en Français, Anglais et Archéologie de l’Université de Lausanne et inscrite au registre professionnel des journalistes depuis 2003, la Sédunoise a d’abord exercé sa profession au sein du groupe Edipresse avant un retour en Valais, en 2008, au sein de la rédaction de Canal9 | Kanal9. Responsable culture de la télévision régionale, Magali Barras jouit d’excellentes connaissances du tissu culturel valaisan ainsi que d’un très vaste réseau, qu’elle a notamment développé en sillonnant le canton durant de nombreuses années pour la réalisation des magazines culturels « L’agenda » et « Tandem ».     Retour Lire la suiteÀ proposNomination de l’archiviste cantonale et de la cheffe de la Section de l’encouragement des activités culturelles »
  • Nomination de la directrice de la Médiathèque Valais-Sion

    Info: Service de la culture Nomination de la directrice de la Médiathèque Valais-Sion Le Conseil d’Etat a nommé Aline Héritier au poste de directrice de la Médiathèque Valais-Sion. La nouvelle directrice entrera en fonction le 1er janvier 2023 et assumera également la fonction de directrice adjointe de la Médiathèque Valais, succédant ainsi à Romaine Valterio-Barras, partie à la retraite en ce début d’année. Agée de 44 ans, Aline Héritier est titulaire d'un master en art et archéologie de l'Antiquité tardive et du Moyen Age, archéologie classique et philologie romane auprès de l’Université de Genève ainsi que d’une licence professionnelle en médiation culturelle auprès de l’Université Aix Marseille (France). Elle suit actuellement un CAS de gouvernance en entreprise à la HES-SO de Sierre. Responsable de la médiation culturelle de la Médiathèque Valais depuis 2010 et de la coordination des activités des Arsenaux depuis 2019, Aline Héritier connaît parfaitement l’institution, ses missions ainsi que les dossiers en cours et les défis à venir. La future directrice de la Médiathèque Valais-Sion et directrice adjointe de la Médiathèque Valais collabore au quotidien avec les entités qui composent le Service de la culture. Cette connaissance du tissu interne, local et cantonal ainsi que ses compétences de gestion en font la personne idéale pour mener à bien les missions de la Médiathèque Valais-Sion. Outre ses fonctions au sein du Service de la culture, Aline Héritier assume également depuis 2017 le rôle de conseillère communale à Savièse, où elle est en charge du dicastère « arts, culture, patrimoine et tourisme ».     Retour Lire la suiteÀ proposNomination de la directrice de la Médiathèque Valais-Sion »
  • Nomination du chef du Service de statistique et de péréquation

    Le Conseil d’Etat a nommé Raphaël Bender comme chef du Service de statistique et de péréquation.  Lire la suiteÀ proposNomination du chef du Service de statistique et de péréquation »
  • Nomination de la cheffe de service et de la pharmacienne cantonale

    Le Conseil d’Etat a nommé Danièle Tissonnier au poste de cheffe du Service de la santé publique (SSP). Lire la suiteÀ proposNomination de la cheffe de service et de la pharmacienne cantonale »
  • Nomination du nouveau médecin cantonal

    Le Conseil d’Etat a nommé Eric Masserey au poste de médecin cantonal. Actuellement médecin cantonal adjoint pour le canton de Vaud, il entrera en fonction le 1er novembre 2022. Il succèdera ainsi à Christian Ambord qui a annoncé son départ pour la fin de l’année. Lire la suiteÀ proposNomination du nouveau médecin cantonal »

Les chroniques de Stella

Conseils

  • Conseil : les astuces d’un expert pour économiser l’énergie

    Conseil : les astuces d’un expert pour économiser l’énergie Au bureau ou à la maison, la sobriété énergétique est à la portée de toutes et tous. Démonstration en cinq clips. La menace d’un blackout énergétique s’éloigne. Et c’est tant mieux ! Il n’empêche : les prix de l’énergie s’affolent alors que notre planète s’essouffle. Que ce soit au travail ou à la maison, il est temps de consommer avec modération. Oui, mais comment ? De courtes vidéos didactiques et pratiques, initiées par le Service cantonal de l’énergie et des forces hydrauliques (SEFH), vous proposent des solutions. Et vous le verrez, de petites mesures – par ailleurs simples à mettre en œuvre – peuvent avoir de grands effets. Chacun, à son niveau, est à même de réduire son empreinte énergétique. A vous de jouer !   L’eau chaude       Le chauffage       Le bureau       La mobilité       Le solaire         Retour Lire la suiteÀ proposConseil : les astuces d’un expert pour économiser l’énergie »
  • Zoom sur le bureau de soutien et de gestion des conflits

    Conseil : Bureau de soutien et de gestion des conflits Vous traversez une mauvaise passe professionnelle ou privée ? Le Bureau de soutien et de gestion des conflits saura vous épauler. Il a remplacé la Consultation sociale (CS). Après bientôt trois ans d’activité, le Bureau de soutien et de gestion des conflits (BSGC) répond aux attentes. Les sollicitations se multiplient. Entre 2020 et 2021, l’activité du BSGC a ainsi doublé, passant de 97 suivis de dossiers à 194 (BSCG – Rapport d’activité 2021). Le Bureau de soutien et de gestion des conflits se présente comme un lieu d’écoute, d’information, de conseil et d’orientation, d’aide et d’accompagnement à la résolution de situations difficiles, qu’elles soient personnelles ou d’équipe. Le Bureau de soutien et de gestion des conflits se présente comme un lieu d’écoute, d’information, de conseil et d’orientation, d’aide et d’accompagnement à la résolution de situations difficiles, qu’elles soient personnelles ou d’équipe.   La structure pluridisciplinaire offre un service « sur mesure » à tous les employés et cadres de l’Administration cantonale, au personnel du Ministère public et des Tribunaux valaisans, aux collaboratrices et collaborateurs de l'Office de l’assurance invalidité Valais et de la Caisse de compensation du canton du Valais ainsi qu’aux enseignants du secondaire II. Responsable du Bureau depuis son lancement en novembre 2019, Liliane Baer nous présente le BSCG : Témoignages issus du rapport d'activité 2021 « La gestion d’une équipe n’est pas simple. Certains conflits sont parfois délicats à gérer au risque d’envenimer la situation. Le Bureau de soutien et de gestion des conflits m’a été d’une très grande aide autant du côté du non verbal, de la posture à adopter, de la manière de faire passer le message que du côté légal. Grâce à eux j’ai pu trouver des solutions, du soutien, être rassurée face à mes décisions et rétablir un bon fonctionnement dans mon équipe. » Une cadre de l’Etat du Valais « J’ai eu l’occasion de faire appel aux services du Bureau de soutien et de gestion des conflits en 2021. La notion de soutien du Bureau a alors pris tout son sens. J’ai pu me confier en toute confidence, sans jugement et avec une écoute bienveillante. C’est tellement rare de pouvoir « vider son sac » sans crainte d’avoir des éventuelles répercussions. Mon interlocutrice a su rester neutre, ce qui permet de ne pas entrer dans une spirale accablante. Elle a pu me conseiller d’agir dans mon intérêt en me poussant hors de ma zone de confort et en refusant de rester sans réaction. Elle m’a conseillé un vocabulaire adapté, juste et sans agressivité ou apitoiement. Nous avons eu l’occasion de nous revoir à plusieurs reprises, m’aidant ainsi à respecter mes propres objectifs et à tenir les délais que je me fixais. Aujourd’hui, le suivi est terminé mais je ne saurais que recommander à chacun qui en ressent le besoin de s’adresser au Bureau sans crainte, il ne peut en ressortir que du positif. Et je n’hésiterai pas à refaire appel à eux si l’occasion et le besoin devaient se représenter. » Une collaboratrice de l’Etat du Valais Retrouvez d’autres témoignages et l’intégralité du Rapport d’activité 2021   Retour Lire la suiteÀ proposZoom sur le bureau de soutien et de gestion des conflits »
  • Cybersécurité : l’affaire de tout un chacun

    Les cyberattaques représentent une menace bien réelle pour l’Etat du Valais. Pour y faire face, le Service cantonal de l’informatique lance une campagne de sensibilisation inscrite dans la durée. L’action cible les utilisateurs. L’occasion de tester nos bonnes pratiques d’hygiène informatique. Lire la suiteÀ proposCybersécurité : l’affaire de tout un chacun »
  • Comment se comporter en cas de tremblement de terre

    Conseil : Comment se comporter en cas de tremblement de terre Le Valais – un territoire au risque sismique élevé 1755 – Viège, 1885 – Sierre, 1946. A ces dates, la terre a fortement tremblé en Valais. Une magnitude de plus de 6 a été enregistée pour ces trois séismes. Les tremblements de terre d’une telle magnitude sont synonymes de dégâts structurels et d’effondrements. Statistiquement, il est presque certain que le Valais connaîtra un autre séisme majeur d’ici la fin du siècle. Il est donc essentiel de connaître les mesures de prévention et les gestes à adopter lorsque la nature s’exprime. Se préparer avant Constituer et conserver des réserves de secours (liste) Disposer d’une trousse de secours Avoir les numéros d’urgence à portée de main Rédiger un plan d’urgence personnel avec ses proches (point de rencontre, logement de fortune, etc.) S’informer Jeu de piste interactif à Sion (ouverture officielle: 19 avril) Centre pédagogique prévention séismes (ouvert au public les week-ends dès le 22 janvier 2022)   Se protéger pendant Si, lors d’un séisme… …l’on se trouve dans un bâtiment: s’abriter sous un meuble (bureau, table, etc.) ou sous un cadre de porte pour se protéger des chutes d’objets ne pas utiliser les ascenseurs garder son calme Ne pas quitter le bâtiment tant que l'environnement n'est pas sûr …l’on se trouve dehors: n’entrer dans aucun bâtiment s’écarter des gros objets susceptibles de chuter s’éloigner des berges des cours d’eau …l’on se trouve dans sa voiture: s’arrêter (sauf sur ou dans un ouvrage routier – pont, tunnel etc.) ne pas sortir de son véhicule   Agir après Garder son calme Dispenser les premiers secours S’informer via la radio, la télévision, l’app Swiss Alert Ne téléphoner qu’en cas d’urgence (le réseau doit être libéré pour les vraies urgences) Ne pas circuler à des fins privées (les routes doivent être libérées pour les forces d’intervention) Etre prudent au moment de quitter un bâtiment (risques de chutes d’objets et d’effondrements) Couper le gaz, l’eau et l’électricité si l’on soupçonne des dommages aux conduites Suivre les instructions des forces d’intervention   Les 48 à 72 heures suivant un tremblement de terre peuvent être très chaotiques. Il est donc essentiel d’être bien préparé. Disposer de réserves de secours et observer les bons gestes peut être décisif en cas de catastrophe.     Retour Lire la suiteÀ proposComment se comporter en cas de tremblement de terre »
  • Vidéoconférences, ce qu’il faut faire et ne pas faire

    La pandémie de coronavirus a accéléré le virage numérique. Avec un certain nombre de personnes en télétravail, les vidéoconférences font désormais partie de notre quotidien professionnel. Voici quelques conseils pour assurer le bon déroulement des séances virtuelles. Lire la suiteÀ proposVidéoconférences, ce qu’il faut faire et ne pas faire »
  • Harcèlement sexuel au travail

    Tout le monde peut être victime de harcèlement sexuel au travail, indépendamment de son sexe, de son âge, de son état civil, de son apparence physique, de sa formation ou de sa situation professionnelle. Une brochure de conseil du Secrétariat d’Etat à l’économie (SECO) explique notamment comment l’employé(e) peut agir dans une telle situation. Lire la suiteÀ proposHarcèlement sexuel au travail »
  • Réseaux sociaux

    Aujourd’hui, les réseaux sociaux font partie intégrante de notre quotidien. La limite entre sphères professionnelle et privée y est particulièrement floue. Le guide rédigé par IVS, l’unité de la Chancellerie d’Etat en charge de l’information, formule des recommandations pour aider les collaboratrices et collaborateurs du canton du Valais à adopter un comportement responsable sur les réseaux sociaux. Lire la suiteÀ proposRéseaux sociaux »
  • Principe de transparence versus secret professionnel

    Depuis l’entrée en vigueur de la loi sur l’information du public, la protection des données et l’archivage, le principe de transparence s’applique dans le canton du Valais. Cette loi exige des autorités de la transparence et un accès simplifié aux documents officiels. Quelles informations un collaborateur peut-il donc révéler et quelles données sont soumises au secret professionnel ? Voici un petit aperçu pour mieux s’y retrouver au milieu de cette jungle législative. Lire la suiteÀ proposPrincipe de transparence versus secret professionnel »
  • Travailler à domicile

    Grâce à la numérisation, de nombreux métiers de bureau peuvent désormais être exercés à domicile. Mais pour que le télétravail fonctionne, il faut un zeste d’autodiscipline. Voici quelques conseils pour faciliter le travail chez soi. Lire la suiteÀ proposTravailler à domicile »
  • Protéger sa messagerie

    Principal outil de communication, la messagerie électronique est l’application la plus courante utilisée tant dans le domaine professionnel que privé. Elle est également une porte d’entrée privilégiée lorsqu’il s’agit de piratage informatique ou de fraude. Avec ces conseils, vous pouvez protéger votre messagerie contre les attaques indésirables. Lire la suiteÀ proposProtéger sa messagerie »

Coup d'oeil dans les archives de l'Etat

  • 1917 - Restriction de l’utilisation du charbon et de l’énergie électrique

    Coup d’œil dans les archives de l’Etat 1917 - Restriction de l’utilisation du charbon et de l’énergie électrique A l’heure où la question de la pénurie d’énergie marque l’actualité, les archives nous permettent de (re)découvrir que notre pays a déjà été confronté à ce risque, ainsi que les mesures qui avaient alors été prises pour y faire face. Si la Suisse a été militairement épargnée par la Première Guerre mondiale, le pays a subi de plein fouet les conséquences économiques de ce conflit[1] . Le Conseil fédéral, doté des pleins pouvoirs dès 1914, met en place une politique d’économie de guerre pour contrer les blocus des grandes puissances et assurer l’approvisionnement du pays en matières premières. Un arrêté fédéral sur la restriction de l’utilisation du charbon et de l’énergie électrique est promulgué en août 1917. L’application des mesures est laissée à la charge des cantons qui, plutôt que d’imposer un rationnement direct des volumes de charbon ou de gaz, préfèrent agir sur les habitudes de consommation en diminuant le chauffage et l’éclairage. Arrêté du 19 octobre 1917. Version française, format bulletin. CH AEV 3510-1, 2.6. Le Conseil d’Etat du canton du Valais promulgue un arrêté le 19 octobre 1917 en ce sens où il est notamment prévu :  de fermer les magasins les dimanches et les jours fériés exception faite des commerces situés dans les localités de montagne ; de n’autoriser l’ouverture des magasins qu’entre 8h30 et 19h00 ; d’interdire tout chauffage dans les auberges avant l’heure d’ouverture ; d’interdire aux hôtels et aux pensions de chauffer plus du quart de leurs chambres. Si les températures descendent à -5°C, il est néanmoins possible d’obtenir une dérogation ; d’organiser le temps de travail, à l’exception de certains corps de métier, selon le rythme de la « semaine anglaise » où les employés travaillent de 8h00 du matin à 17h00 le soir. Cette organisation du travail concerne les employés de l’administration cantonale, les employés des entreprises privées et les écoliers valaisans. Courbe faite main représentant la consommation électrique journalière en 1917. CH AEV 3510-1, 2.6.   Un mois avant cet arrêté, le Service du gaz de la commune de Sion avait déjà avisé la population de la ville de l’augmentation considérable du prix du gaz et des difficultés d’approvisionnement. Le gaz avait, d’une part, considérablement augmenté à cause du renchérissement du charbon mais, d’autre part, son prix avait été volontairement gonflé afin de limiter sa consommation. Pour faire face à cette augmentation, le Conseil d’Etat publie un décret en novembre 1917 qui prévoit une alternative aux énergies fossiles : l’implication des usines électriques pour fournir l’énergie nécessaire aux habitants du canton. L’utilisation du réseau électrique va connaître une forte augmentation et les usines électriques, publiques ou privées, vont s’emparer de ce décret et proposer à leurs abonnés l’installation de cuisinières électriques pour remplacer celles à gaz désormais trop coûteuses.      Avis émis par le Service du gaz de la commune de Sion, 18 septembre 1917. CH AEV 3510-1, 2.6.     1 HLS DHS DSS; Hans Rudolf Fuhrer; Mauro Cerutti; Marc Perrenoud; Markus Bürgi: "Guerre mondiale, Première", in: Dictionnaire historique de la Suisse (DHS), version du 05.05.2015, traduit de l’allemand. Online: https://hls-dhs-dss.ch/fr/articles/008926/2015-05-05/, consulté le 24.11.2022.     Retour Lire la suiteÀ propos1917 - Restriction de l’utilisation du charbon et de l’énergie électrique »
  • Les Décisions du Conseil d’Etat : du papier à l’électronique

    Coup d’œil dans les archives de l’Etat Les Décisions du Conseil d’Etat : du papier à l’électronique 506 registres ou 39 mètres linéaires, voilà ce que représentent les décisions prises par le Conseil d’Etat valaisan depuis 1815, sources essentielles pour la recherche, ainsi que pour la traçabilité de l’action de l’Etat. Peu savent pourtant que, depuis 2011, le Conseil d’Etat valaisan prend ses décisions sur la base de dossiers entièrement électroniques grâce au système ECM DCE. A l’archivage papier s’est donc substitué un archivage numérique et les Archives de l’Etat du Valais ont déjà accueilli deux versements provenant du système ECM DCE en 2017 et 2021. Vue des registres de protocoles des séances du Conseil d’Etat pour les années 1917 à 1920 (cotes : CH AEV 1101, 72 et 73). L’archivage électronique permet de récolter des informations plus complètes, directement issues du système informatique d’origine. Ainsi, si les registres papier ne contiennent que les décisions, les dossiers numériques permettent de retrouver l’ensemble des pièces justificatives, ainsi que l’historique du traitement de chaque affaire. Pour autant, il ne faut pas oublier que le numérique reste un support fragile nécessitant des processus rigoureux établis bien en amont du moment de l’archivage. D’où l’importance de bien penser à associer dès le départ le personnel des Archives à vos projets informatiques! Extrait des informations sous forme électronique concernant une décision d’adjudication prise lors de la séance du 27 mars 2013 (cote : CH AEV, 1101-2017/85).   Retour Lire la suiteÀ proposLes Décisions du Conseil d’Etat : du papier à l’électronique »
  • Fonds des Archives de l’Etat du Valais

    Outre l’Exécutif et le Législatif, le Judiciaire contribue lui aussi au fonds des Archives de l’Etat du Valais. Lire la suiteÀ proposFonds des Archives de l’Etat du Valais »
  • Camion-magasin

    Qui se souvient de ces fameux camions-magasins qui sillonnaient les routes du Valais, entre autres, pour vendre les denrées alimentaires dans des lieux plus ou moins éloignés ? Nos habitudes d’achat ont certes grandement évolué depuis ce temps-là, mais l’ère des commandes en ligne avec livraison à domicile nous y ramène d’une certaine manière. Lire la suiteÀ proposCamion-magasin »
  • Registre des personnes recherchées par la Police cantonale

    De nombreux documents conservés parmi les 17 kilomètres linéaires d’archives de l’Etat du Valais retracent l’histoire du canton. Certains demeurent essentiels, d’autres moins. Cependant, tous sont nécessaires pour interpréter les événements et comprendre les personnalités qui ont fait du Valais d’hier celui d’aujourd’hui. Dans cette rubrique, nous vous présentons régulièrement des extraits sélectionnés par nos Archives cantonales. Dans ce numéro, vous découvrirez un aperçu du registre des personnes recherchées par la Police cantonale. Lire la suiteÀ proposRegistre des personnes recherchées par la Police cantonale »
  • Livrets d’immigration et de travail

    De nombreux documents conservés parmi les 17 kilomètres linéaires d’archives de l’Etat du Valais retracent l’histoire du canton. Certains demeurent essentiels, d’autres moins. Cependant, tous sont nécessaires pour interpréter les événements et comprendre les personnalités qui ont fait du Valais d’hier celui d’aujourd’hui. Dans cette rubrique, nous vous présentons régulièrement des extraits sélectionnés par nos Archives cantonales. Dans ce numéro, vous découvrirez un aperçu des livrets d’immigration et de travail, des femmes et des hommes qui sont venus en Valais d'autres cantons ou de pays étrangers proches pour y travailler. Lire la suiteÀ proposLivrets d’immigration et de travail »
  • Coup d’œil dans les archives de l’Etat

    De nombreux documents conservés parmi les 17 kilomètres linéaires d’archives de l’Etat du Valais retracent l’histoire du canton. Certains demeurent essentiels, d’autres moins. Cependant, tous sont nécessaires pour interpréter les événements et comprendre les personnalités qui ont fait du Valais d’hier celui d’aujourd’hui. Dans cette rubrique, nous vous présentons régulièrement des extraits sélectionnés par nos Archives cantonales. Dans ce numéro, vous découvrirez un aperçu du nouveau fonds photo du Service de la mobilité.  Lire la suiteÀ proposCoup d’œil dans les archives de l’Etat »
  • Coup d'oeil dans les archives de l'Etat

    De nombreux documents conservés parmi les 17 kilomètres linéaires d’archives de l’Etat du Valais retracent l’histoire du canton. Certains demeurent essentiels, d’autres moins. Cependant, tous sont nécessaires pour interpréter les événements et comprendre les personnalités qui ont fait du Valais d’hier celui d’aujourd’hui. Dans cette rubrique, nous vous présentons régulièrement des extraits sélectionnés par nos Archives cantonales. Dans ce numéro, vous trouverez un aperçu des différentes corrections du Rhône. Lire la suiteÀ proposCoup d'oeil dans les archives de l'Etat »
  • Blick ins Staatsarchiv

    De nombreux documents conservés parmi les 17 kilomètres linéaires d’archives de l’Etat du Valais retracent l’histoire du canton. Certains demeurent essentiels, d’autres moins. Cependant, tous sont nécessaires pour interpréter les événements et comprendre les personnalités qui ont fait du Valais d’hier celui d’aujourd’hui. Dans cette rubrique, nous vous présentons régulièrement des extraits sélectionnés par nos Archives cantonales. Dans ce numéro, vous trouverez un aperçu de l’album consacré à la visite du Pape en Valais. Lire la suiteÀ proposBlick ins Staatsarchiv »