Reportages
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Série « Winter Palace » : le Château Mercier décroche son premier grand rôle au cinéma !
Durant trois semaines, le Château Mercier s’est métamorphosé en un décor de cinéma pour la série télévisée « Winter Palace ». Toutes les scènes en chambre de cette saga historique réalisée par Pierre Monnard ont été tournées à Sierre. Cette grande production sera diffusée sur la SSR à la fin 2024, puis sur Netflix, offrant ainsi une tribune internationale à ce joyau propriété du canton et dont le Conseil d’Etat a récemment décidé de renforcer l’attrait culturel. Reportage dans les coulisses du tournage. Lire la suiteÀ proposSérie « Winter Palace » : le Château Mercier décroche son premier grand rôle au cinéma ! » -
Les Arsenaux transformés en un centre médias
Les lieux sont réputés pour leur quiétude. Mais ce jour-là, rien de tel. Le 22 octobre 2023, à l’occasion des élections fédérales, le pôle culturel des Arsenaux à Sion s’est métamorphosé en un vaste centre médiatique. A l’invitation du canton, les rédactions ont investi les lieux. De l’atmosphère feutrée d’une médiathèque au tumulte de l’arène médiatique et politique, reportage au cœur d’un dispositif exceptionnel. Lire la suiteÀ proposLes Arsenaux transformés en un centre médias » -
Transition énergétique : Du solaire dans les prises de l’administration.
L’administration cantonale se tourne vers le solaire pour couvrir ses besoins en électricité. Objectif : tapisser plus de 50'000 m2 de toitures avec des panneaux photovoltaïques. Le canton met en service des centrales toujours plus puissantes. Reportage au Service de la circulation routière et de la navigation. Lire la suiteÀ proposTransition énergétique : Du solaire dans les prises de l’administration. » -
30 ans, une nouvelle cheffe et un déménagement : En 2023, l’Office cantonal de l’égalité et de la famille prend un nouvel envol.
Vis-à-vis a eu l’opportunité de découvrir en avant-première les nouveaux bureaux de l'Office cantonal de l’égalité et de la famille (OCEF), en pleine phase de déménagement. En 30 ans, l’OCEF a connu plusieurs périodes de transformation, voire de turbulence, avec une constante : le chiffre 3. L’office a déménagé trois fois, a changé de nom à trois reprises et a traversé trois grandes phases de développement. Retour sur cette trilogie avec trois personnages qui ont ou qui vont marquer l’histoire de l’OCEF. Lire la suiteÀ propos30 ans, une nouvelle cheffe et un déménagement : En 2023, l’Office cantonal de l’égalité et de la famille prend un nouvel envol. » -
Le Collège Spiritus Sanctus lutte contre le gaspillage énergétique
Huit bâtiments qui ont entre 350 et 20 ans, 900 élèves, 90 enseignants et une trentaine d’autres employés. Ces quelques chiffres clés du Collège Spiritus Sanctus de Brigue sont plutôt impressionnants. Du coup, comment économiser l'énergie de la manière la plus efficace possible avec de telles infrastructures ? Comme à la maison ! Baisser le chauffage, changer les ampoules, améliorer l'isolation, sensibiliser les utilisateurs, les habitants et les visiteurs et, si nécessaire ou si possible, planifier des investissements énergétiques efficaces. Vis-à-vis a rendu visite à l'ancien concierge du collège, Ivan Tenisch, ainsi qu'au recteur Gerhard Schmidt dans son bureau plutôt frais. Lire la suiteÀ proposLe Collège Spiritus Sanctus lutte contre le gaspillage énergétique » -
« Rendez-vous au bord du Rhône » : l’exposition qui changera le regard du Valais sur son fleuve emblématique
Le Rhône, une chance pour notre qualité de vie. C’est ce qu’entend démontrer l’exposition « Rendez-vous au bord du Rhône » qui a pris ses quartiers à Sierre, en avant-première. Itinérante et participative, l’exposition figure parmi les projets de l’Agenda 2030. Piloté par le Service des dangers naturels (SDANA), le projet résulte d’une large collaboration privée publique. Vis-à-vis se penche sur les coulisses de sa réalisation. Lire la suiteÀ propos« Rendez-vous au bord du Rhône » : l’exposition qui changera le regard du Valais sur son fleuve emblématique » -
Des personnes en situation de handicap numérisent les déclarations fiscales des contribuables valaisans. La prestation porte sur six millions de pages par année. Découverte.
Le Service cantonal des contributions collabore avec deux institutions sociales pour la numérisation de nos déclarations fiscales. Chaque année, des millions de documents sont ainsi scannés par des personnes en situation de handicap. Reportage aux Ateliers St-Hubert de Sion et à l’Atelier Manus à Brigue. Lire la suiteÀ proposDes personnes en situation de handicap numérisent les déclarations fiscales des contribuables valaisans. La prestation porte sur six millions de pages par année. Découverte. » -
Grand-Brûlé : centenaire et toujours à l’avant-garde de la vitiviniculture valaisanne
Au Grand-Brûlé, le millésime 2021 fera date. Le domaine viticole de l’Etat du Valais a vécu cet automne ses centièmes vendanges, et ce pour la première fois sous la houlette d’une femme. Sécateur à la main, Vis-à-Vis parcourt 100 ans de la vitiviniculture valaisanne. Echanges à la vigne et au pressoir avec la nouvelle cheffe de culture Angélique Délèze et le maître-caviste Eddy Dorsaz. Lire la suiteÀ proposGrand-Brûlé : centenaire et toujours à l’avant-garde de la vitiviniculture valaisanne » -
Fromager, tout un art !
Chaque printemps, le canton du Valais propose des cours sur le fromage à Châteauneuf. Ils sont dispensés par Eric Masseraz, responsable cantonal de l’économie laitière, qui conseille aussi ses élèves après la formation théorique lors de leurs stages dans les alpages valaisans. Nous l’avons accompagné lors d’un contrôle à l’alpage du Plan-de-la-Chaux, dans le val Ferret. Lire la suiteÀ proposFromager, tout un art ! » -
Elections cantonales 2021
En mars, la population valaisanne a élu les cinq membres du Conseil d’Etat, ainsi que ceux du Parlement. Le Service de l’information de la Chancellerie d’Etat a de nouveau mis sur pied un centre de presse, un lieu de rencontre pour les candidats, les acteurs politiques et les journalistes. En raison de la pandémie du coronavirus, la situation était toutefois un peu différente cette année. Petit tour d’horizon en texte et en images. Lire la suiteÀ proposElections cantonales 2021 »
Portrait
PortraitSarah Tacchini « Drivin’Ladies permet de nous retrouver entre filles, sans jugement ».
Elle aime sillonner les routes. Juste pour le plaisir. Sarah Tacchini s’évade en voiture, le long des lacs et sur les cols. Rouler «c’est se sentir libre», dit-elle. La jeune trentenaire parcourt 25’000 kilomètres par an. «Je me déplace essentiellement en voiture. Je sais que ce n’est pas un exemple d’écologie, mais j’aime les sensations qu’elle procure, j’aime rouler, c’est ma passion», confie Sarah.
Je me déplace essentiellement en voiture. Je sais que ce n’est pas un exemple d’écologie, mais j’aime les sensations qu’elle procure, j’aime rouler, c’est ma passion
Son allant pour les voitures, c’est d’abord une histoire de rencontres. Le premier chapitre s’écrit à l’adolescence. Sarah Tacchini fréquente des mordus d’autos. Certains bricolent des bolides. D’autres pratiquent les sports mécaniques. L’occasion pour Sarah de suivre ses premiers rallyes et de découvrir des compétitions de drift. « Au début, j’y allais parce que ça me faisait une sortie et puis finalement je me suis laissée prendre au jeu », se souvient la Collondzaine.
Au début, cette passion de l’automobile rime avec frustration. Faute de moyens. Durant sa formation, Sarah doit se contenter d’un vieux tacot. Le petit modèle sportif attendra. « Avec mes premiers véhicules, je n’osais pas rejoindre un club. Je trouvais ça triste », avoue-t-elle aujourd’hui.
Fini le temps de la privation. Diplôme en poche, Sarah Tacchini se fait enfin plaisir. En 2022, elle jette son dévolu sur une Toyota Yaris GR 4x4. Sous le capot de ce trois cylindres Turbo : 261 ch. «Point de vue performance, elle me suffit, pas question de la pousser davantage, je ne suis pas une pilote dans l’âme», reconnaît la jeune femme. Sarah laisse son moteur en paix, mais se lâche en revanche sur l’esthétisme de sa machine : «J’ai fait ce qu’on appelle un covering complet. Des autocollants au design personnalisé recouvrent l’entier de la carrosserie.» L’opération s’est faite avec l’aide d’un professionnel qui est aussi son compagnon.
Si je m’y connais en mécanique ? je n’aime pas trop ce genre de questions, je trouve que ça fait cliché,
Détentrice d’un Bachelor en économie d’entreprise auprès de la HES-SO de Sierre, Sarah a débuté par un apprentissage d’employée de commerce au Service de la santé publique. La Bas-Valaisanne est revenue aux sources il y a bientôt deux ans, en qualité de collaboratrice économique.
Sa passion reste ainsi au rang de hobby, Sarah préférant ne pas en faire son métier. « Mécanicienne, carrossière ou électricienne auto, ça m’aurait plu de me former dans l’automobile, sauf que je ne suis clairement pas manuelle », regrette-t-elle.
« Si je m’y connais en mécanique ? je n’aime pas trop ce genre de questions, je trouve que ça fait cliché », réplique l’intéressée. Et de poursuivre : « Je m’intéresse à la mécanique dans le sens où j’aime comprendre le fonctionnement de ma voiture. Je n’ai en revanche clairement pas les connaissances nécessaires pour me coucher sous un lift. »
Une rencontre, encore une, donnera une nouvelle dimension à cette passion. Sarah et sa collègue de travail Morgane se découvrent toutes deux fans d’automobile. Au fil des échanges, une envie commune se dessine : créer un club réservé aux femmes, « tout simplement pour avoir des copines avec qui rouler, des filles aussi avec qui échanger des conseils. »
Drivin’Ladies voit le jour en mai 2022. Le club organise des sorties. En général, le programme comprend une virée, un repas, des pauses photos et, au cas par cas, une visite. L’esprit se veut convivial, voire familial. Les cofondatrices ont aussi fixé quelques règles : « Sur le groupe WhatsApp, elles sont basiques : pas de propos injurieux, ni racistes, ni homophobes et pas de disputes en public. Au volant, on respecte les limitations de vitesse et on évite les drifts en ville », résume Sarah.
Chez nous, on a des sportives, des pick-up, des voitures de circuit et même des familiales
Les clubs automobiles sont souvent mixtes, mais que très rarement 100% féminin. Sarah et Morgane innovent dans un univers encore très masculin. « C’est une triste réalité, mais il y a encore certains hommes qui peinent à accepter des femmes dans le milieu », témoigne la milléniale. Expérience faite, Sarah ne s’est jamais vraiment sentie à sa place dans ces clubs :
Certains membres peuvent se montrer lourds. Les remarques sont parfois sexistes.
D’où le Drivin’Ladies pour se retrouver entre filles, sans jugement. » Le club est ouvert à toutes les femmes, toutes, sans restriction. Ici, pas besoin de tuner sa voiture, ni de rouler sur un véhicule à part. « Chez nous, on a des sportives, des pick-up, des voitures de circuit et même des familiales », souligne la cofondatrice. Après une année, le Drivin’Ladies compte près de 80 membres, en provenance des six cantons romands et de France voisine.
Au vu du nombre d’adhérentes, le club répond à une réelle attente. Le Drivin’Ladies fédère les mordues d’autos. Il emballe aussi les réseaux sociaux. En octobre, une vidéo publiée sur TikTok fait un carton. La publication enregistre plus de 50'000 vues. Phénoménal ! « Ce jour-là, on n’en revenait pas. On voyait les notifications, demandes d’ajout et commentaires défiler. On a vraiment, entre guillemets, explosé. On a dû doubler nos membres en quelques jours », s’étonne encore notre tiktokeuse. Depuis, l’effectif s’est stabilisé, à la satisfaction de nos meneuses. L’objectif étant de garder une taille en phase avec l’ADN du club : « Notre but, c’est de nous retrouver et de rouler ensemble. Passé un certain nombre de participantes, ça devient compliqué de se suivre sur la route. »
Jamais à court d’idées, Sarah Tacchini fourmille de projets. En marge du club, elle souhaiterait développer la communauté Drivin’Ladies : « Des filles nous suivent depuis la Belgique et le Canada. Elles peuvent devenir des ambassadrices sur les réseaux sociaux. Nos stickers, sent-bon et autres produits dérivés doivent aussi profiter à des non-membres. »
Le club songe également à se transformer en une association pour gagner en crédibilité et en poids auprès de ses partenaires, « ce serait plus facile pour négocier des avantages », selon l’économiste d'entreprise.
Enfin, la quête d’un sponsor fait aussi son chemin. La rencontre espérée ne s’est pas encore réalisée, mais le message est lancé. Perfectionniste assumée, Sarah en a toujours sous le capot.
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En visite
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En visite à Ayer
Village typique d’Anniviers, Ayer a su garder toute son authenticité dans une vallée en plein essor touristique. Ici, on prend grand soin de son patrimoine et de ses traditions. Adrienne Melly nous fait découvrir son village de cœur. Lire la suiteÀ proposEn visite à Ayer » -
En visite à Vollèges
Porte d’entrée du Val de Bagnes, Vollèges cultive une certaine discrétion en comparaison de sa voisine Verbier. Mais à y regarder de plus près, la destination offre mille et une raisons de s’y attarder. Bernard Abbet nous fait découvrir son village natal et ses environs. Lire la suiteÀ proposEn visite à Vollèges » -
à Saint-Nicolas
Saint-Nicolas est plus qu'un simple point de passage ou de départ pour les aventuriers des sommets alpins. C'est un lieu chargé d'histoire, de culture et de traditions, où l'on peut découvrir la richesse et la diversité du patrimoine valaisan. Lire la suiteÀ proposà Saint-Nicolas » -
à Euseigne
Le village doit sa notoriété à ses pyramides. Mais pour Sylvia Sierro-Cina, Euseigne recèle bien d’autres richesses. Collaboratrice administrative au Service de la santé publique, « la pharaonne », comme la surnomment certains, y vit depuis 14 ans. Visite guidée en sa compagnie. Lire la suiteÀ proposà Euseigne » -
à La Bâtiaz
La Bâtiaz : son quartier, son château. La bourgade jouit d’une belle renommée, bien au-delà de Martigny. Octodurienne pur sucre et collaboratrice spécialisée au Service cantonal de l’agriculture (SCA), Sandra Moulin-Michellod nous invite à découvrir « sa » Bâtiaz, un lieu empreint de souvenirs d’enfance. Lire la suiteÀ proposà La Bâtiaz » -
à Gondo
«Gondo, ce n’est pas que les intempéries. C’est bien plus que cela». Yannick Squaratti, cantonnier et conseiller communal, nous fait découvrir les trésors cachés du village. Lire la suiteÀ proposà Gondo » -
à Miège
Cap sur Miège. Le juge Patrick Schriber nous emmène à la découverte de son village d’adoption. L’homme de loi siège au Tribunal des mesures de contrainte (TMC) et au Tribunal de l’application des peines et mesures (TAPEM) à Sion. Natif de Sierre, Patrick Schriber a quitté la plaine pour le coteau en 2001. A Miège, le quinquagénaire s’y sent bien. Il apprécie l’esprit « joyeux et festif » de ses habitants et le dynamisme des sociétés locales. Bienvenue en terre « calabraise ». Lire la suiteÀ proposà Miège » -
à Collombey-Muraz
Montheysan de souche, Yves Cretton vit sur la commune voisine de Collombey-Muraz, aux Neyres plus précisément. Le Chablaisien goûte aux plaisirs du lieu depuis 20 ans. Sur le plan professionnel, Yves Cretton est rattaché au Service des Hautes Ecoles en tant que responsable de la centrale cantonale des moyens d’enseignement. Guide d’un jour, il nous fait découvrir Collombey-Muraz sous un visage nouveau. Lire la suiteÀ proposà Collombey-Muraz » -
à Binn
Hubert Gorsatt a grandi à Binn. Bien que ce cantonnier réside depuis de nombreuses années dans la commune de Fieschertal, il passe beaucoup de temps dans son chalet d’alpage au sommet du Binntal. Lire la suiteÀ proposà Binn » -
à Sion
Il n’y a parfois pas besoin d’aller très loin pour se sentir en vacances… Sion a comme un air d’Italie pour Ismaël Grosjean qui nous fait découvrir des petits coins de paradis de la capitale valaisanne. Lire la suiteÀ proposà Sion »
Dialogues
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Fidélité
Le canton fête ses jubilaires. Lire la suiteÀ proposFidélité » -
FMEP
La FMEP a fêté ses 75 ans lors de son assemblée des délégués. Lire la suiteÀ proposFMEP » -
Découvrir de nouvelles perspectives
Une cinquantaine d’enfants ont répondu à l’invitation de la Police cantonale le 8 novembre, à l’occasion de la journée Futur en tous genres. Lire la suiteÀ proposDécouvrir de nouvelles perspectives »
Info
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Fabienne Mocellin nommée cheffe du Service cantonal des contributions
Le Conseil d’Etat a nommé Fabienne Mocellin-Fort au poste de cheffe du Service cantonal des contributions. Lire la suiteÀ proposFabienne Mocellin nommée cheffe du Service cantonal des contributions » -
INFO - Protection de la population : consignes en cas de catastrophe
Comment réagir en cas de catastrophes ou de situations d’urgence ? Le Service de la sécurité civile et militaire (SSCM) adresse ses recommandations à la population à travers un nouveau fascicule. Lire la suiteÀ proposINFO - Protection de la population : consignes en cas de catastrophe » -
INFO - Bibliothèque du Bureau de soutien et de gestion des conflits : offre étoffée
Le Bureau de soutien et de gestion des conflits (BSGC) s’est doté récemment de nombreux livres, en français et en allemand, qui viennent compléter la liste des ouvrages déjà répertoriés dans sa bibliothèque. Lire la suiteÀ proposINFO - Bibliothèque du Bureau de soutien et de gestion des conflits : offre étoffée » -
INFO - Nomination de la cheffe du Service du registre foncier
Le Conseil d’Etat a nommé Marie-Claude Toschini-Métroz à la tête du Service du registre foncier (SRF), rattaché au Département de la sécurité, des institutions et du sport (DSIS). Lire la suiteÀ proposINFO - Nomination de la cheffe du Service du registre foncier » -
INFO - Centre médico-éducatif La Castalie à Monthey et Sierre
Le Conseil d’Etat a nommé Jean-Marc Bellagamba, Aferdita Bogiqi et Evelyne Rivat Métrailler en qualité de nouveaux membres du Conseil d’administration de La Castalie à Monthey et Sierre. Ils remplacent Françoise Riand, Stéphane Coppey et Josiane Granger, tous trois ayant atteint la durée maximale de douze ans de mandat prévue par la loi. Lire la suiteÀ proposINFO - Centre médico-éducatif La Castalie à Monthey et Sierre » -
INFO - Centre agricole de Viège - Karin Oesch nommée à la direction
Karin Oesch sera la nouvelle directrice du Centre agricole de Viège. Elle succèdera à Moritz Schwery qui a fait valoir son droit à la retraite. Son entrée en fonction aura lieu le 1er août. Lire la suiteÀ proposINFO - Centre agricole de Viège - Karin Oesch nommée à la direction » -
INFO - Egalité salariale entre femmes et hommes confirmée au sein de l’Etat du Valais
L’Etat du Valais, en tant que plus grand employeur du canton, a un rôle important à jouer en ce qui concerne l’égalité salariale entre femmes et hommes. Après 2013 et 2018 une nouvelle analyse réalisée par une entreprise externe confirme une pratique salariale équitable au sein de l’Etat du Valais pour tout son personnel (administration, enseignement et tribunaux). Les résultats de l’étude confirment donc pour la 3ème fois que l’égalité salariale est respectée. Lire la suiteÀ proposINFO - Egalité salariale entre femmes et hommes confirmée au sein de l’Etat du Valais » -
INFO - PASS 13*
Le PASS 13*, qui permet d’utiliser les transports publics à un tarif réduit, est reconduit dans le cadre d’une deuxième phase de test. Lire la suiteÀ proposINFO - PASS 13* » -
INFO - Observatoire valaisan de la santé - Nomination de la nouvelle présidente
Le Gouvernement a nommé Laurence Richard comme membre et présidente du conseil d’administration de l’Observatoire valaisan de la santé (OVS) Lire la suiteÀ proposINFO - Observatoire valaisan de la santé - Nomination de la nouvelle présidente » -
INFO - Jubilaire 2023
Son engagement à l’Etat du Valais remonte à 1978. Patrick Antonin a fêté cette année 45 ans d’activité au sein de l’administration. Maître viticulteur, ce sexagénaire a travaillé durant trois décennies au Domaine de Châteauneuf avant de rejoindre l’Office des paiements directs. Lire la suiteÀ proposINFO - Jubilaire 2023 »
Les chroniques de Stella
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Certains l’aiment chaud
C’est bien connu : les femmes aiment le chaud, les hommes plutôt le froid. Cela se vérifie également au bureau. Quand il est question de la température idéale, les conflits entre les deux sexes sont programmés. Surtout depuis qu’il est avéré que les femmes sont plus productives au travail avec la chaleur. Dans sa chronique, Stella se demande comment mettre fin à ces querelles de thermostat au sein d’un espace de travail partagé. Lire la suiteÀ proposCertains l’aiment chaud » -
Au revoir, à jamais
Le ghosting, c’est-à-dire la disparition soudaine d’une personne sans adieu ni explication, ne se limite pas aux rencontres des temps modernes : le phénomène semble avoir gagné le monde professionnel. De plus en plus de candidats ne reçoivent jamais de nouvelles de leur employeur potentiel après un entretien d’embauche. Est-ce la faute de l’expansion du numérique ? Lire la suiteÀ proposAu revoir, à jamais » -
La chronique de Stella
L'espace d'un instant, Stella s'imaginait déjà rouler sur l'or. Mais il en fut ensuite tout autrement... Lire la suiteÀ proposLa chronique de Stella » -
Les joies des soupers d’entreprise
Pour de nombreuses entreprises, les festivités de Noël et de Nouvel An sont une bonne occasion de remercier les collaborateurs pour le travail fourni en organisant une soirée. Toutefois, les soupers de fin d’année ne sont pas la tasse de thé de tout le monde. Stella nous confie pourquoi il vaut la peine d’y participer. Lire la suiteÀ proposLes joies des soupers d’entreprise » -
Une folie très ordinaire
Avec l'actuelle pandémie de coronavirus, notre langage change de façon spectaculaire. Des centaines de nouvelles expressions fleurissent dans notre vocabulaire. Alors qu’on parlait récemment beaucoup de la honte de prendre l’avion, voilà qu’elle est remplacée aujourd’hui par la honte d’éternuer. Lire la suiteÀ proposUne folie très ordinaire » -
Sacrée technologie !
Tous ceux qui ont déjà participé à des vidéoconférences reconnaîtront probablement l'un ou l'autre de ces éléments. Un aperçu de la folie quotidienne. Lire la suiteÀ proposSacrée technologie ! » -
Glosse
Qu’est-ce qui fait le succès d’une équipe? Lire la suiteÀ proposGlosse »
Conseils
Conseil : communication écrite
« Cherchons à être les partenaires de nos lectrices et lecteurs et donnons un visage à nos écrits »
Comment bien rédiger un courriel ? Avouons-le, c’est un peu chacun sa méthode et le règne de l’autodidaxie. L’apprentissage se fait sur le tas et souvent par mimétisme. Pourtant, les bonnes pratiques existent et elles s’enseignent !
Fabienne Schnyder dispense des cours de communication écrite au personnel de l’Etat du Valais, dans le cadre de séminaires de perfectionnement organisés par le Service des ressources humaines. Elle est aussi l’autrice du guide pratique intitulé « La communication écrite en Suisse : lettres, courriels et autres formes de correspondance mises au goût du jour », édité chez LEP Loisirs et Pédagogie en 2022.
Comment bien rédiger un courriel ? Vaste domaine ! Avec le concours de Fabienne Schnyder, Vis-à-vis consacre ses trois prochaines rubriques « Conseil » à ce thème.
Premier volet : la communication moderne et sa forme
Quel est le b.a-ba de la communication contemporaine ?
Fabienne Schnyder :
Fondamentalement, la communication écrite a bien changé et continue d’évoluer. Aujourd’hui, ce n’est plus l’émetteur, celui qui écrit, qui prime, mais l’interlocuteur, c’est-à-dire celle ou celui qui nous lit. L’écrit devient ainsi moins distant, plus compréhensible et aussi plus chaleureux. Pour cela, il convient de se mettre à la place de la personne qui recevra notre message. Cherchons à être les partenaires de nos lectrices et lecteurs et donnons un visage à nos écrits.
Dès lors, comment devrions-nous idéalement nous adresser à un destinataire ?
Il s’agit d’individualiser et de personnaliser nos formules d’appel. Lorsqu’il y a plusieurs destinataires, la formule « Mesdames, Messieurs » est à proscrire. On préfèrera : « Madame, Monsieur ». Lire est une activité solitaire. La personne qui nous lit se sentira plus concernée si nous nous adressons à elle au singulier.
Dans le prolongement, oublions les « Chers tous » et optons plutôt pour « Chère collègue, Cher collègue » ou « Chère et cher collègue », sans l’usage du pluriel.
Le ton de la formule d’appel peut aussi varier...
Ce qui détermine la tournure de notre formule d’appel, c’est la relation souhaitée avec le destinataire et le contenu de nos écrits. Les formules « Madame » ou « Monsieur » restent impersonnelles et froides. A l’inverse, « Bonjour Madame Perroud » offre plus de proximité et de fraîcheur, tout en restant polie et formelle.
Et la virgule ?
En Suisse romande, la formule d’appel est généralement suivie d’une virgule. Mais l’usage se perd. En Suisse alémanique, la virgule a disparu. La garder fait vieillot.
Venons-en au message. La première phrase est cruciale, dites-vous ?
Effectivement, c’est elle qui donne le ton à votre courrier. Je conseille une formulation claire, directe et positive, mettant notre lectrice, notre lecteur au centre. Il faut aussi éviter les phrases toutes faites et ce que j’appelle les « nous-nous lettres » (Ex : «Nous nous référons »). Toute prise de contact représente une possibilité de créer du lien. Saisissons-là ! En adoptant un ton négatif ou conventionnel, notre interlocuteur sera moins réceptif à notre message.
Comme par exemple ?
Comme par exemple cette entame de courriel que nous retrouvons fréquemment : « Nous accusons réception de votre lettre du 4 avril courant qui a attiré toute notre attention ». Même s’il s’agit d’une formule consacrée, « accuser » reste un mot négatif. La deuxième partie de phrase est aussi inutile : le lecteur part sans doute du principe que nous lisons tous nos courriers de manière attentive.
Soigner le final revêt également toute son importance ?
C’est juste, le dernier paragraphe doit laisser une impression positive.
En toutes circonstances ?
Oui, même et surtout si la teneur du message est délicate ou dans le cas d’un refus. Par ailleurs, il ne faut jamais conclure en regrettant une décision prise. Le destinataire ne prendrait pas la phrase au sérieux. Et à raison : il s’agit d’une fioriture, de la pseudo-empathie.
Quant aux salutations, il faut à tout prix éviter les formules standards intégrées automatiquement dans les signatures. C’est la dernière poignée de main. Il est donc important de l’adapter à notre interlocuteur et au contenu. On peut situer nos salutations dans le temps ou géographiquement, comme par exemple : « Bon weekend ; Belle semaine ; Bonne fin de journée ; Meilleures salutations de Sion, etc... ».
Concernant le titre du courriel, quelle est la règle ?
Tout courriel contient un titre, sans exception. Au minimum, ce sera un mot clé qui oriente le lecteur sur la thématique du mail.
Dans le corps du message, vous préférez les phrases courtes aux longues tirades. Plus précisément ?
Limitez-vous à 12 à 14 mots par phrase. Privilégiez une idée par phrase. Je conseille également d’alterner les longueurs de phrase et de privilégier la voix active à la voix passive.
Et puis, attention au temps verbal ?
Oui, le futur est souvent utilisé à mauvais escient. On lit régulièrement : « Tu trouveras en pièce jointe... ». Mais il faut se mettre à la place de l’autre. Dans ce cas, le présent convient mieux. Car du moment où le destinataire lit son mail, il dispose de la pièce jointe. Et pour faire plus simple et direct, un « Voici en pièce jointe » fera tout aussi bien l’affaire.
Etonnamment, vous n’appréciez pas beaucoup les «Merci » ?!
Je nuancerais : il s’agit d’un mot précieux qui facilite la communication. Mais le risque, c’est qu’il devienne un tic de langage. Je n’utiliserais qu’une fois « merci » dans un courriel et pour une bonne raison, pas plus. Comme « volontiers », « merci » fait partie de ces mots magiques qui perdent de leur valeur si on les utilise trop souvent et au mauvais endroit.
L’écriture évolue, de même que les canaux de communication. Choisir le bon canal, le bon support est aussi un enjeu ?
Effectivement, entre la boîte mail, le téléphone, les sms, Whatsapp, Signal, Webex, sans oublier la lettre traditionnelle et les réseaux sociaux, nous n’avons jamais eu autant de possibilités de communiquer. Chacun choisira le canal approprié en fonction de ses besoins.
Dans ce contexte, une règle d’or prévaut : on emploiera en général toujours le même canal que son interlocuteur.
Dans le contexte de surcommunication ambiant, il est aussi important de garder à l’esprit les avantages du contact direct. Avec un coup de fil, on peut éviter bien des malentendus.
Documents
Directive du Conseil d’Etat CE-2019-057
« L’usage de notre messagerie électronique professionnelle est soumis à des règles. Elles sont réunies sous l’article 8 de la Directive d’utilisation des systèmes d’information du 1er novembre 2021. » |
Coup d'oeil dans les archives de l'Etat
Coup d’œil dans les archives de l’Etat
Outre l’Exécutif et le Législatif, le Judiciaire contribue lui aussi au fonds des Archives de l’Etat du Valais. Grâce aux recueils de jugements et dossiers de procédures civiles et pénales, les personnes concernées, les chercheur.euses et même le public intéressé peuvent avoir un aperçu de la jurisprudence valaisanne – dans le respect des délais de protection en vigueur afin de préserver les droits de la personnalité de chacun.e, bien évidemment. Parmi les jugements conservés aux Archives de l’Etat, l’on trouve également une série de registres reliés de jugements pénaux (AEV, 5075). Pour que ces trésors plus que centenaires restent consultables par les générations futures, les collaboratrices et collaborateurs des Archives de l’Etat les soumettent à un traitement conservatoire: il.elles les nettoient, les conditionnent dans des boîtes et fourres adaptées puis les entreposent dans des locaux spécialement aménagés en sous-sol, avec une stabilité climatique optimale.
Qui n’a jamais renversé son café ou sa bouteille d’eau sur son bureau et regardé impuissant.e le liquide se répandre partout, jusque sur ses documents? Ou photocopié les pages d’un livre en pressant fortement le couvercle de l’appareil sur l’ouvrage pour obtenir une copie de meilleure qualité? Sans oublier les inondations qui peuvent atteindre les locaux d’archives… Même si l’on est soigneux.se au quotidien, l’endommagement d’un document est vite arrivé. Nos prédécesseur.es de l’Administration cantonale en ont fait la malheureuse expérience. Du fait d’une consultation fréquente, la reliure du registre 19 (1880-1881) de la collection des jugements pénaux a par exemple été fortement fragilisée et endommagée (le premier plat a disparu et le dos s’est décollé).
En 2012, cet ouvrage de plus de 140 ans a été confié à un professionnel pour être restauré dans les règles de l’art. Pas tant pour disposer d’un «beau» registre que pour le stabiliser aux fins de sa consultation.
IMG Loin du cliché de l’archiviste reclus.e dans une cave sombre, la préservation du patrimoine qui leur est confié fait partie du quotidien de nos collègues des Archives. Pour eux.elles, la durabilité est une préoccupation aussi importante qu’actuelle; son but est de garantir la transmission de ce patrimoine aux générations futures. Un pied dans le passé, les yeux rivés vers l’avenir, nos archivistes luttent contre la dégradation naturelle des documents. Une mission qui ne se limite pas à la durée d’une vie, mais s’étend sur des siècles, voire des millénaires. Envie d’en savoir plus sur le défi quotidien de la conservation et de l’archivage des documents papier, des parchemins et des fichiers électroniques? Alors visitez l’exposition des Archives de l’Etat du Valais «Pourvu que ça dure!» aux Arsenaux (rue de Lausanne 45), qui se tient depuis le 25 mars, ou profitez de la journée portes ouvertes du samedi 11 juin entre 10 et 22 h 00, date de fin de l’exposition.
Visites pour le personnel de l’Administration cantonale:
- 18 mai à 16h00 (en allemand)
- 18 mai à 17h00 (en français)
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