Reportages
-
Série « Winter Palace » : le Château Mercier décroche son premier grand rôle au cinéma !
Durant trois semaines, le Château Mercier s’est métamorphosé en un décor de cinéma pour la série télévisée « Winter Palace ». Toutes les scènes en chambre de cette saga historique réalisée par Pierre Monnard ont été tournées à Sierre. Cette grande production sera diffusée sur la SSR à la fin 2024, puis sur Netflix, offrant ainsi une tribune internationale à ce joyau propriété du canton et dont le Conseil d’Etat a récemment décidé de renforcer l’attrait culturel. Reportage dans les coulisses du tournage. Lire la suiteÀ proposSérie « Winter Palace » : le Château Mercier décroche son premier grand rôle au cinéma ! » -
Les Arsenaux transformés en un centre médias
Les lieux sont réputés pour leur quiétude. Mais ce jour-là, rien de tel. Le 22 octobre 2023, à l’occasion des élections fédérales, le pôle culturel des Arsenaux à Sion s’est métamorphosé en un vaste centre médiatique. A l’invitation du canton, les rédactions ont investi les lieux. De l’atmosphère feutrée d’une médiathèque au tumulte de l’arène médiatique et politique, reportage au cœur d’un dispositif exceptionnel. Lire la suiteÀ proposLes Arsenaux transformés en un centre médias » -
Transition énergétique : Du solaire dans les prises de l’administration.
L’administration cantonale se tourne vers le solaire pour couvrir ses besoins en électricité. Objectif : tapisser plus de 50'000 m2 de toitures avec des panneaux photovoltaïques. Le canton met en service des centrales toujours plus puissantes. Reportage au Service de la circulation routière et de la navigation. Lire la suiteÀ proposTransition énergétique : Du solaire dans les prises de l’administration. » -
30 ans, une nouvelle cheffe et un déménagement : En 2023, l’Office cantonal de l’égalité et de la famille prend un nouvel envol.
Vis-à-vis a eu l’opportunité de découvrir en avant-première les nouveaux bureaux de l'Office cantonal de l’égalité et de la famille (OCEF), en pleine phase de déménagement. En 30 ans, l’OCEF a connu plusieurs périodes de transformation, voire de turbulence, avec une constante : le chiffre 3. L’office a déménagé trois fois, a changé de nom à trois reprises et a traversé trois grandes phases de développement. Retour sur cette trilogie avec trois personnages qui ont ou qui vont marquer l’histoire de l’OCEF. Lire la suiteÀ propos30 ans, une nouvelle cheffe et un déménagement : En 2023, l’Office cantonal de l’égalité et de la famille prend un nouvel envol. » -
Le Collège Spiritus Sanctus lutte contre le gaspillage énergétique
Huit bâtiments qui ont entre 350 et 20 ans, 900 élèves, 90 enseignants et une trentaine d’autres employés. Ces quelques chiffres clés du Collège Spiritus Sanctus de Brigue sont plutôt impressionnants. Du coup, comment économiser l'énergie de la manière la plus efficace possible avec de telles infrastructures ? Comme à la maison ! Baisser le chauffage, changer les ampoules, améliorer l'isolation, sensibiliser les utilisateurs, les habitants et les visiteurs et, si nécessaire ou si possible, planifier des investissements énergétiques efficaces. Vis-à-vis a rendu visite à l'ancien concierge du collège, Ivan Tenisch, ainsi qu'au recteur Gerhard Schmidt dans son bureau plutôt frais. Lire la suiteÀ proposLe Collège Spiritus Sanctus lutte contre le gaspillage énergétique » -
« Rendez-vous au bord du Rhône » : l’exposition qui changera le regard du Valais sur son fleuve emblématique
Le Rhône, une chance pour notre qualité de vie. C’est ce qu’entend démontrer l’exposition « Rendez-vous au bord du Rhône » qui a pris ses quartiers à Sierre, en avant-première. Itinérante et participative, l’exposition figure parmi les projets de l’Agenda 2030. Piloté par le Service des dangers naturels (SDANA), le projet résulte d’une large collaboration privée publique. Vis-à-vis se penche sur les coulisses de sa réalisation. Lire la suiteÀ propos« Rendez-vous au bord du Rhône » : l’exposition qui changera le regard du Valais sur son fleuve emblématique » -
Des personnes en situation de handicap numérisent les déclarations fiscales des contribuables valaisans. La prestation porte sur six millions de pages par année. Découverte.
Le Service cantonal des contributions collabore avec deux institutions sociales pour la numérisation de nos déclarations fiscales. Chaque année, des millions de documents sont ainsi scannés par des personnes en situation de handicap. Reportage aux Ateliers St-Hubert de Sion et à l’Atelier Manus à Brigue. Lire la suiteÀ proposDes personnes en situation de handicap numérisent les déclarations fiscales des contribuables valaisans. La prestation porte sur six millions de pages par année. Découverte. » -
Grand-Brûlé : centenaire et toujours à l’avant-garde de la vitiviniculture valaisanne
Au Grand-Brûlé, le millésime 2021 fera date. Le domaine viticole de l’Etat du Valais a vécu cet automne ses centièmes vendanges, et ce pour la première fois sous la houlette d’une femme. Sécateur à la main, Vis-à-Vis parcourt 100 ans de la vitiviniculture valaisanne. Echanges à la vigne et au pressoir avec la nouvelle cheffe de culture Angélique Délèze et le maître-caviste Eddy Dorsaz. Lire la suiteÀ proposGrand-Brûlé : centenaire et toujours à l’avant-garde de la vitiviniculture valaisanne » -
Fromager, tout un art !
Chaque printemps, le canton du Valais propose des cours sur le fromage à Châteauneuf. Ils sont dispensés par Eric Masseraz, responsable cantonal de l’économie laitière, qui conseille aussi ses élèves après la formation théorique lors de leurs stages dans les alpages valaisans. Nous l’avons accompagné lors d’un contrôle à l’alpage du Plan-de-la-Chaux, dans le val Ferret. Lire la suiteÀ proposFromager, tout un art ! » -
Elections cantonales 2021
En mars, la population valaisanne a élu les cinq membres du Conseil d’Etat, ainsi que ceux du Parlement. Le Service de l’information de la Chancellerie d’Etat a de nouveau mis sur pied un centre de presse, un lieu de rencontre pour les candidats, les acteurs politiques et les journalistes. En raison de la pandémie du coronavirus, la situation était toutefois un peu différente cette année. Petit tour d’horizon en texte et en images. Lire la suiteÀ proposElections cantonales 2021 »
Portrait
PortraitDubaï, sa parenthèse enchantée
« J’ai toujours eu cet intérêt de travailler à l’étranger dans un milieu international ». A Dubaï, Stéphanie Denis Darbellay a été servie. Promue « team leader guest relations », la Fulliéraine s’est retrouvée à la direction de l’accueil sur le pavillon suisse. Son équipe était composée de quarante personnes, en provenance d’Asie, d’Europe et d’Amérique du Sud. On y parlait quinze langues. « Autant vous dire qu’en sept mois d’activité, j’ai vécu l’équivalent d’une expérience de dix ans de RH, avec tous les types de situations possibles », s’amuse, avec du recul, Stéphanie. Son cahier des charges englobait une autre tâche, plus singulière celle-là. « Pour la décoration ambiante, on générait du brouillard, un vrai, à base d’eau. J’ai appris à créer du brouillard. Ça fait une ligne de plus sur mon CV », plaisante la Valaisanne.
Autant vous dire qu’en sept mois d’activité, j’ai vécu l’équivalent d’une expérience de dix ans de RH, avec tous les types de situations possibles.
Pour vivre son expérience dubaïote, l’employée d’Etat a fait valoir un congé non payé, conformément à la loi sur le personnel. A cet effet, elle a dû motiver sa demande auprès de ses supérieurs, jusqu’au chef du Département de l’économie et de la formation, Christophe Darbellay. « Passé l’effet de surprise et une fois le projet expliqué, l’accueil a été excellent, souligne la quadragénaire. Cela dit, ma requête n’avait rien de vraiment farfelu, mon employeur temporaire n’étant autre que l’administration fédérale ».
Un conseil pour des collègues qui pourraient se laisser tenter par un break ? La spécialiste RH en voit deux : anticiper des solutions et s’assurer que le contexte professionnel se prête à un congé sabbatique.
Si l’expo s’était déroulée en 2020, comme initialement prévu, la question ne se serait même pas posée, mon chef assumant la présidence du Gouvernement à ce moment-là.
Son bon de sortie en poche, Stéphanie Denis Darbellay a rejoint Dubaï le 7 septembre 2021. L’acclimatation s’est faite du jour au lendemain, en dépit de la chaleur et des nouvelles conditions de travail. « Semaines de 45 heures et horaires irréguliers, j’ai adoré ça », confie-t-elle. Le succès du pavillon suisse a aussi contribué à son bonheur. Et du monde, il y en a eu. Au plus fort de l’affluence, le public devait patienter trois heures avant de pouvoir fouler le tapis rouge helvétique. 18'000 visiteurs s’y pressaient au quotidien. Et parfois, dans la foule, des personnalités : « Le cheikh de Dubaï est venu, ainsi que de nombreuses familles royales émiraties ou saoudiennes. Côté suisse, je retiens la venue du président de la Confédération Guy Parmelin et du conseiller fédéral Ueli Maurer, mais aussi celle de Nabila et de Géraldine Fasnacht ».
Le travail a rythmé le séjour. Les voyages également. Tout congé était prétexte à la découverte. Les sept Emirats voisins et Oman ont ainsi reçu la visite de Stéphanie Denis Darbellay. Aventurière ? Elle n’en revendique pas le profil, pas encore du moins : « Je suis une voyageuse plutôt prévoyante. En général, je réserve les hôtels et les vols à l’avance, ainsi que les éventuels bus, trains et autres moyens de transport. Mais ça va peut-être changer ».
A 46 ans, la voyageuse a parcouru une trentaine de pays. En moyenne, elle prend le large une fois par mois. « Il m’arrive aussi de partir sur un jour, destination Nice, Londres ou Amsterdam. L’empreinte carbone ? Dès qu’on parle de voyage, je peux me montrer très égoïste sur le sujet, je l’avoue ».
Je suis une voyageuse plutôt prévoyante.
Vol retour, le lundi 4 avril 2022. Deux jours plus tard, l’assistante du chef du Département de l’économie et de la formation retrouvait son bureau du bâtiment Aymon, plus motivée que jamais : « Après un break, on revient avec une énergie complètement nouvelle, avec d’autres idées, avec un enthousiasme encore plus grand, surtout après une expérience internationale comme celle-là ».
« La meilleure façon de réaliser ses rêves est de se réveiller », écrivait Paul Valéry. Stéphanie en a toujours fait sa devise. « Au début, je ne savais pas comment parler de mon projet à mon mari et à mon employeur. Dès que je me suis livrée, tout est devenu plus facile. On se met trop souvent des barrières. Et c’est pourquoi, oui, il faut se réveiller, il faut se réveiller pour réaliser ses rêves ». Pour Stéphanie, Dubaï restera à jamais « une parenthèse enchantée ». Promis, elle y retournera en novembre, mais cette fois pour des vacances.
Et c’est pourquoi, oui, il faut se réveiller, il faut se réveiller pour réaliser ses rêves.
En visite
En visite à Miège
Miège fait désormais partie de la nouvelle commune de Noble-Contrée. Mais bien que fusionnée avec ses voisines Venthône et Veyras, Miège n’a rien perdu de son charme et de sa typicité. Au contraire. Son orientation plein sud, ses forêts et surtout son vignoble font et feront toujours sa renommée. Lové sur le coteau à 700 mètres d’altitude, le village attire tous les ans de nouveaux résidents. Aujourd’hui, Miège en compte 1400. Patrick Schriber en a fait son lieu de vie, avec sa famille, son épouse étant originaire de l’endroit. Le temps d’une visite, le juge Schriber quitte sa robe de magistrat pour enfiler ses habits de guide. Découverte.
Un sobriquet ?
Les Calabrais
« Ils ont parfois le verbe haut et fort ; et si on vient à les taquiner, on trouvera du répondant » : c’est ainsi que Patrick perçoit ses concitoyens miégeois. Et, sourire en coin, de les comparer aux Gaulois d’Astérix. Le sobriquet « officiel » dont les villageois sont affublés n’en demeure pas moins « Les Calabrais ». «La vocation agricole exclusive, la position géographique en dehors de toute voie de communication, la situation à l’extrême est du Valais romand, comme la Calabre au fond de l’Italie, seule commune à l’est de la Signèse, nous ont valu le surnom de Calabrais », écrit François Caloz dans Miège mon village. Le sobriquet est plutôt bien accepté, si ce n’est revendiqué, relève Patrick : «C’est un qualificatif presque valorisant. Calabrais, ça donne bien cette image d’indépendants ».
De là à en faire un plat ? La boucherie du village n’a pas hésité. Ainsi fut lancée la fondue calabraise et ses morceaux de rumsteck assaisonnés maison. « J’aime en manger, sans en abuser. Car c’est un plat qui donne soif, et forcément, avec de la Calabraise, on ne boit pas que de l’eau », plaisante notre guide.
Une spécialité ?
Le vin
Deux ceps bien garnis ornent ses armoiries. Nul doute, à Miège, la vigne est sacrée. Le vignoble s’étend sur 93 hectares. Il façonne ainsi le tiers du territoire. « La vigne et Miège sont indissociables », résume Patrick. En surface, le Pinot noir supplante tous les cépages, loin devant le Chasselas, alors que le Savagnin blanc (Païen) progresse sur ce terroir calcaire. Question coup de cœur, Patrick met en avant la Syrah et le Cornalin de la région. Le village dénombre près de dix caves. Et la relève est là. « Une nouvelle génération, les enfants des encaveurs, reprend le flambeau. La tradition se maintient », se félicite notre observateur, qui souligne encore la qualité des produits : « L’exposition des vignes et le savoir-faire local en sont le secret. De quoi répondre aux attentes des palais les plus exigeants ».
Un événement phare ?
La Marche des cépages
Le succès ne se dément pas. Tous les ans en septembre, des milliers de personnes s’élancent sur la Marche des cépages. La procession s’étire sur huit kilomètres entre Sierre et Salquenen. « C’est vraiment sympathique de pouvoir découvrir cette belle région, déguster des plats typiques et d’excellents vins, qu’ils soient de Sierre, Veyras, Miège ou Salquenen. Qui plus est, le soleil est toujours de la partie », s’enthousiasme Patrick.
La Marche des cépages emprunte le sentier viticole valaisan. Le Château de Villa en est le point de départ. Muraz, Veyras, puis Miège sont autant d’étapes incontournables. « A Miège, l’itinéraire traverse le centre du village, puis monte sur la forêt de la Crettaz, avant de rejoindre la place de la bourgeoisie. La Maison bourgeoisiale, avec les vins qui y sont servis, reste mon endroit de prédilection », avoue le régional de l’étape.
Au fil des éditions, la Marche des cépages a acquis une notoriété nationale. La Suisse alémanique en est devenue fan. Selon Patrick, l’expérience vaut clairement d’être vécue: « Pour moi, ça fait partie des événements auxquels il faut avoir participé au moins une fois dans sa vie. Ne serait-ce que pour se faire une idée. Après, on aime ou on n’aime pas. Mais il faut se faire un avis. »
Le samedi 10 septembre 2022, la Marche des cépages vivra sa trentième édition. L’occasion rêvée de découvrir ou redécouvrir cet événement fort prisé.
Une promenade de choix ?
Le bisse du Clou
Il fait le bonheur des Miégeois. Le Bisse du Clou offre un coup d’œil exceptionnel sur le village et la plaine du Rhône. L’ouvrage d’environ deux kilomètres prend son eau dans la Raspille, à 900 mètres d’altitude. Patrick aime le parcourir, en toute saison : « La balade est assez facile, avec peu de dénivelé. Elle permet de rester toujours la tête au soleil. » Miège prend grand soin de son bisse. La population se réunit une fois par an pour l’entretien des lieux. Les plus jeunes prêtent aussi main forte : « Les élèves du centre scolaire ont récemment réalisé un nettoyage conséquent. A cette occasion, des panneaux d’information ont été posés pour guider le randonneur ».
Patrick nous invite à prolonger la virée jusqu’à la Chapelle des Plans, en amont de la prise d’eau. Plus connu sous le nom de Chapelle Sainte Marguerite, l’édifice étonne par son emplacement. « Il apparait au milieu de la forêt, posé là, adossé à un rocher. La première fois, ça surprend. L’ambiance est aussi sonore avec le brouhaha des eaux de la Raspille qui résonne contre les murs ». Méconnus du grand public, le Bisse de Clou et la chapelle des Plans méritent à coup sûr le détour.
Dialogues
-
Fidélité
Le canton fête ses jubilaires. Lire la suiteÀ proposFidélité » -
FMEP
La FMEP a fêté ses 75 ans lors de son assemblée des délégués. Lire la suiteÀ proposFMEP » -
Découvrir de nouvelles perspectives
Une cinquantaine d’enfants ont répondu à l’invitation de la Police cantonale le 8 novembre, à l’occasion de la journée Futur en tous genres. Lire la suiteÀ proposDécouvrir de nouvelles perspectives »
Info
-
Fabienne Mocellin nommée cheffe du Service cantonal des contributions
Le Conseil d’Etat a nommé Fabienne Mocellin-Fort au poste de cheffe du Service cantonal des contributions. Lire la suiteÀ proposFabienne Mocellin nommée cheffe du Service cantonal des contributions » -
INFO - Protection de la population : consignes en cas de catastrophe
Comment réagir en cas de catastrophes ou de situations d’urgence ? Le Service de la sécurité civile et militaire (SSCM) adresse ses recommandations à la population à travers un nouveau fascicule. Lire la suiteÀ proposINFO - Protection de la population : consignes en cas de catastrophe » -
INFO - Bibliothèque du Bureau de soutien et de gestion des conflits : offre étoffée
Le Bureau de soutien et de gestion des conflits (BSGC) s’est doté récemment de nombreux livres, en français et en allemand, qui viennent compléter la liste des ouvrages déjà répertoriés dans sa bibliothèque. Lire la suiteÀ proposINFO - Bibliothèque du Bureau de soutien et de gestion des conflits : offre étoffée » -
INFO - Nomination de la cheffe du Service du registre foncier
Le Conseil d’Etat a nommé Marie-Claude Toschini-Métroz à la tête du Service du registre foncier (SRF), rattaché au Département de la sécurité, des institutions et du sport (DSIS). Lire la suiteÀ proposINFO - Nomination de la cheffe du Service du registre foncier » -
INFO - Centre médico-éducatif La Castalie à Monthey et Sierre
Le Conseil d’Etat a nommé Jean-Marc Bellagamba, Aferdita Bogiqi et Evelyne Rivat Métrailler en qualité de nouveaux membres du Conseil d’administration de La Castalie à Monthey et Sierre. Ils remplacent Françoise Riand, Stéphane Coppey et Josiane Granger, tous trois ayant atteint la durée maximale de douze ans de mandat prévue par la loi. Lire la suiteÀ proposINFO - Centre médico-éducatif La Castalie à Monthey et Sierre » -
INFO - Centre agricole de Viège - Karin Oesch nommée à la direction
Karin Oesch sera la nouvelle directrice du Centre agricole de Viège. Elle succèdera à Moritz Schwery qui a fait valoir son droit à la retraite. Son entrée en fonction aura lieu le 1er août. Lire la suiteÀ proposINFO - Centre agricole de Viège - Karin Oesch nommée à la direction » -
INFO - Egalité salariale entre femmes et hommes confirmée au sein de l’Etat du Valais
L’Etat du Valais, en tant que plus grand employeur du canton, a un rôle important à jouer en ce qui concerne l’égalité salariale entre femmes et hommes. Après 2013 et 2018 une nouvelle analyse réalisée par une entreprise externe confirme une pratique salariale équitable au sein de l’Etat du Valais pour tout son personnel (administration, enseignement et tribunaux). Les résultats de l’étude confirment donc pour la 3ème fois que l’égalité salariale est respectée. Lire la suiteÀ proposINFO - Egalité salariale entre femmes et hommes confirmée au sein de l’Etat du Valais » -
INFO - PASS 13*
Le PASS 13*, qui permet d’utiliser les transports publics à un tarif réduit, est reconduit dans le cadre d’une deuxième phase de test. Lire la suiteÀ proposINFO - PASS 13* » -
INFO - Observatoire valaisan de la santé - Nomination de la nouvelle présidente
Le Gouvernement a nommé Laurence Richard comme membre et présidente du conseil d’administration de l’Observatoire valaisan de la santé (OVS) Lire la suiteÀ proposINFO - Observatoire valaisan de la santé - Nomination de la nouvelle présidente » -
INFO - Jubilaire 2023
Son engagement à l’Etat du Valais remonte à 1978. Patrick Antonin a fêté cette année 45 ans d’activité au sein de l’administration. Maître viticulteur, ce sexagénaire a travaillé durant trois décennies au Domaine de Châteauneuf avant de rejoindre l’Office des paiements directs. Lire la suiteÀ proposINFO - Jubilaire 2023 »
Les chroniques de Stella
La chronique de Stella
Sacrée technologie !
Pour certains, la vie en télétravail n’est pas si terrible. Elle offre effectivement plusieurs avantages. On peut mettre le réveil un peu plus tard, plus besoin de manger à la cantine et on peut s’offrir de temps en temps des spaghettis aglio et olio sans provoquer de froncements de sourcils chez ses collègues. Mais pour ma part, il y a une chose que je ne supporte pas dans mon travail à la maison : les vidéoconférences. Même après une année, j’ai l’impression qu’elles suivent toujours le même sempiternel schéma.
Au début, c’est généralement la pagaille. Avec toujours les mêmes phrases et questions : « vous m’entendez? », « Thomas, t’es là? », « est-ce que quelqu’un sait si Tina va nous rejoindre? », « tu nous vois? », « je vous entends, mais je n’ai pas l’image.» Ensuite, lorsque tout le monde a réussi à se connecter, la réunion est interrompue par un chien qui aboie, un bébé qui pleure ou un mignon minet qui avance à tâtons sur le clavier en exposant son postérieur à la caméra. Une fois que chacun y est allé de son commentaire sur le doux mistigri ou a remis entre de bonnes mains son rejeton, les participants sont priés d’éteindre leur micro quand ils ne sont pas en train de parler. Ceci pour éviter que des bruits tels que décrits ci-dessus ne perturbent l’ordre du jour.
Un collègue choisit alors justement ce moment, loin d’être idéal, pour nous demander notre avis sur son image de fond « rigolote ». Et personne n’ose lui dire la vérité, à savoir que son super fond d’écran n’est en fait pas tellement plus qu’un fond vert qui lui coupe les cheveux ou la moitié du scalp.
La séance se poursuit. Le collègue X demande un peu de patience. C’est que, même après la dixième vidéoconférence, il n’a toujours pas compris comment partager son écran avec les autres. Et à la seconde où il y parvient enfin, il le regrette. Rappelons ici qu’il est conseillé de fermer certaines fenêtres ouvertes dans le navigateur en arrière-plan avant d’activer le partage d’écran.
C’en est trop pour moi. Il n’y a qu’une solution. Ma connexion est tout à coup mauvaise... J-e-e – grésillements – ne-e v…ous – grésillements – ...tends plus.
Conseils
Conseil : Focus sur la formation continue dédiée aux femmes
En Valais, les femmes assument un rôle toujours plus important en politique, au travail ou au sein d’associations. Mais de là à atteindre la parité, le chemin est encore long. En vue d’un meilleur partage des responsabilités, le canton -via l’Office cantonal de l’égalité et de la famille (OCEF) et le Service des ressources humaines (SRH)- propose des formations à l’intention des femmes. L’offre existe depuis plusieurs années. On y trouve par exemple « Marketing de soi au féminin » ou « Yes you can ».
Les précisions de Caroline Berclaz, spécialiste formation au Service des ressources humaines :
En 2023, l’Office cantonal de l’égalité et de la famille (OCEF), en collaboration avec le Centre valaisan de perfectionnement continu (CVPC), a reconduit « Yes you can ». Organisée au printemps, la formation englobe une série de modules. L’un d’eux propose une rencontre-échange avec une personnalité.
L’édition 2023 a vu l’intervention de la Neuchâteloise Sylvie Perrinjaquet. Séquence coaching :
Coup d'oeil dans les archives de l'Etat
Coup d’œil dans les archives de l’Etat
Livrets d’immigration et de travail
En cette période de pandémie, les conditions d’entrée dans un pays et les règles de quarantaine déterminent qui peut entrer et sortir d’un pays, que ce soit pour des raisons professionnelles ou privées. Et même si les séances virtuelles et les réunions sur Zoom peuvent souvent remplacer des rencontres hors du canton et des congrès internationaux, des gens passent chaque jour la frontière pour travailler ou s’installer en Suisse avec un permis L, G, C ou B.
Lors du catalogage du fonds des Archives de l’Etat du Valais (AEV), une collection de livrets de travail et d’immigration a été mise au jour parmi les documents du bureau cantonal des étrangers. Cette collection couvre la période allant de 1806 à 1935 et se compose de 741 livrets d’immigration et de travail de femmes et d’hommes qui sont venus d’autres cantons ou de pays voisins pour travailler en Valais. Les livrets d’immigration présentent chaque fois une description personnelle (signes distinctifs) et le sceau des autorités cantonales compétentes. Ces documents racontent d’une part une portion de l’histoire migratoire et d’autre part les histoires individuelles de leurs détenteurs.
Pour l’instant, on ignore encore pourquoi le bureau cantonal des étrangers avait rassemblé ces livrets et pourquoi ils n’ont pas été retournés à leur propriétaire. Pour répondre à cette question, il faudrait faire des recherches plus approfondies sur les activités administratives du bureau cantonal aux XIXe et XXe siècles.