Reportages
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Série « Winter Palace » : le Château Mercier décroche son premier grand rôle au cinéma !
Durant trois semaines, le Château Mercier s’est métamorphosé en un décor de cinéma pour la série télévisée « Winter Palace ». Toutes les scènes en chambre de cette saga historique réalisée par Pierre Monnard ont été tournées à Sierre. Cette grande production sera diffusée sur la SSR à la fin 2024, puis sur Netflix, offrant ainsi une tribune internationale à ce joyau propriété du canton et dont le Conseil d’Etat a récemment décidé de renforcer l’attrait culturel. Reportage dans les coulisses du tournage. Lire la suiteÀ proposSérie « Winter Palace » : le Château Mercier décroche son premier grand rôle au cinéma ! » -
Les Arsenaux transformés en un centre médias
Les lieux sont réputés pour leur quiétude. Mais ce jour-là, rien de tel. Le 22 octobre 2023, à l’occasion des élections fédérales, le pôle culturel des Arsenaux à Sion s’est métamorphosé en un vaste centre médiatique. A l’invitation du canton, les rédactions ont investi les lieux. De l’atmosphère feutrée d’une médiathèque au tumulte de l’arène médiatique et politique, reportage au cœur d’un dispositif exceptionnel. Lire la suiteÀ proposLes Arsenaux transformés en un centre médias » -
Transition énergétique : Du solaire dans les prises de l’administration.
L’administration cantonale se tourne vers le solaire pour couvrir ses besoins en électricité. Objectif : tapisser plus de 50'000 m2 de toitures avec des panneaux photovoltaïques. Le canton met en service des centrales toujours plus puissantes. Reportage au Service de la circulation routière et de la navigation. Lire la suiteÀ proposTransition énergétique : Du solaire dans les prises de l’administration. » -
30 ans, une nouvelle cheffe et un déménagement : En 2023, l’Office cantonal de l’égalité et de la famille prend un nouvel envol.
Vis-à-vis a eu l’opportunité de découvrir en avant-première les nouveaux bureaux de l'Office cantonal de l’égalité et de la famille (OCEF), en pleine phase de déménagement. En 30 ans, l’OCEF a connu plusieurs périodes de transformation, voire de turbulence, avec une constante : le chiffre 3. L’office a déménagé trois fois, a changé de nom à trois reprises et a traversé trois grandes phases de développement. Retour sur cette trilogie avec trois personnages qui ont ou qui vont marquer l’histoire de l’OCEF. Lire la suiteÀ propos30 ans, une nouvelle cheffe et un déménagement : En 2023, l’Office cantonal de l’égalité et de la famille prend un nouvel envol. » -
Le Collège Spiritus Sanctus lutte contre le gaspillage énergétique
Huit bâtiments qui ont entre 350 et 20 ans, 900 élèves, 90 enseignants et une trentaine d’autres employés. Ces quelques chiffres clés du Collège Spiritus Sanctus de Brigue sont plutôt impressionnants. Du coup, comment économiser l'énergie de la manière la plus efficace possible avec de telles infrastructures ? Comme à la maison ! Baisser le chauffage, changer les ampoules, améliorer l'isolation, sensibiliser les utilisateurs, les habitants et les visiteurs et, si nécessaire ou si possible, planifier des investissements énergétiques efficaces. Vis-à-vis a rendu visite à l'ancien concierge du collège, Ivan Tenisch, ainsi qu'au recteur Gerhard Schmidt dans son bureau plutôt frais. Lire la suiteÀ proposLe Collège Spiritus Sanctus lutte contre le gaspillage énergétique » -
« Rendez-vous au bord du Rhône » : l’exposition qui changera le regard du Valais sur son fleuve emblématique
Le Rhône, une chance pour notre qualité de vie. C’est ce qu’entend démontrer l’exposition « Rendez-vous au bord du Rhône » qui a pris ses quartiers à Sierre, en avant-première. Itinérante et participative, l’exposition figure parmi les projets de l’Agenda 2030. Piloté par le Service des dangers naturels (SDANA), le projet résulte d’une large collaboration privée publique. Vis-à-vis se penche sur les coulisses de sa réalisation. Lire la suiteÀ propos« Rendez-vous au bord du Rhône » : l’exposition qui changera le regard du Valais sur son fleuve emblématique » -
Des personnes en situation de handicap numérisent les déclarations fiscales des contribuables valaisans. La prestation porte sur six millions de pages par année. Découverte.
Le Service cantonal des contributions collabore avec deux institutions sociales pour la numérisation de nos déclarations fiscales. Chaque année, des millions de documents sont ainsi scannés par des personnes en situation de handicap. Reportage aux Ateliers St-Hubert de Sion et à l’Atelier Manus à Brigue. Lire la suiteÀ proposDes personnes en situation de handicap numérisent les déclarations fiscales des contribuables valaisans. La prestation porte sur six millions de pages par année. Découverte. » -
Grand-Brûlé : centenaire et toujours à l’avant-garde de la vitiviniculture valaisanne
Au Grand-Brûlé, le millésime 2021 fera date. Le domaine viticole de l’Etat du Valais a vécu cet automne ses centièmes vendanges, et ce pour la première fois sous la houlette d’une femme. Sécateur à la main, Vis-à-Vis parcourt 100 ans de la vitiviniculture valaisanne. Echanges à la vigne et au pressoir avec la nouvelle cheffe de culture Angélique Délèze et le maître-caviste Eddy Dorsaz. Lire la suiteÀ proposGrand-Brûlé : centenaire et toujours à l’avant-garde de la vitiviniculture valaisanne » -
Fromager, tout un art !
Chaque printemps, le canton du Valais propose des cours sur le fromage à Châteauneuf. Ils sont dispensés par Eric Masseraz, responsable cantonal de l’économie laitière, qui conseille aussi ses élèves après la formation théorique lors de leurs stages dans les alpages valaisans. Nous l’avons accompagné lors d’un contrôle à l’alpage du Plan-de-la-Chaux, dans le val Ferret. Lire la suiteÀ proposFromager, tout un art ! » -
Elections cantonales 2021
En mars, la population valaisanne a élu les cinq membres du Conseil d’Etat, ainsi que ceux du Parlement. Le Service de l’information de la Chancellerie d’Etat a de nouveau mis sur pied un centre de presse, un lieu de rencontre pour les candidats, les acteurs politiques et les journalistes. En raison de la pandémie du coronavirus, la situation était toutefois un peu différente cette année. Petit tour d’horizon en texte et en images. Lire la suiteÀ proposElections cantonales 2021 »
Portrait
PortraitKevin Raux - Sa quête du passeport suisse
«Je le jure ! » : par ces mots, Kevin Raux est devenu citoyen valaisan. L’assermentation s’est déroulée le 24 mai à la Simplonhalle de Brigue. Régis, son papa, et Celcivane, sa maman, sont à ses côtés. Le moment est intense et solennel. La famille Raux prête serment dans une salle comble – 360 candidats sont présents ce jour-là – devant le conseiller d’Etat Frédéric Favre et la sous-commission « Naturalisation » du Grand Conseil. La cérémonie terminée, Kevin Raux s’est vu remettre son acte d’origine. L’aboutissement d’un long parcours pour cet enfant de Port-Valais.
Kevin Raux a vu le jour à Nyon, mais c’est en Valais qu’il a grandi, dès l’âge de quatre ans. Ses parents ont immigré très jeunes en Suisse. Son papa vient du Nord-Pas-de-Calais en France et sa maman de la région de Rio de Janeiro au Brésil. « Jusqu’ici, lorsqu’on me posait la question de mes origines, je me sentais un peu mal à l’aise, de crainte qu’on me colle une étiquette, se souvient le nouveau citoyen valaisan. Cela dit, on ne m’a jamais fait sentir que j’étais étranger, peut-être aussi parce que les gens l’ignoraient ». Titulaire jusqu’ici d’un permis C, Kevin s’est toujours senti bien chez lui en Valais. Sportif assidu, il a porté haut les couleurs de son canton d’adoption. Membre des cadres valaisans de tennis, il a été couronné champion cantonal la saison 2014-2015. Kevin s’est également illustré en karaté avec une médaille de bronze au championnat suisse (2009-2010). Un modèle d’intégration, diront certains. Mais il en faut davantage pour prétendre à la nationalité helvétique.
Jusqu’ici, lorsqu’on me posait la question de mes origines, je me sentais un peu mal à l’aise, de crainte qu’on me colle une étiquette, se souvient le nouveau citoyen valaisan. Cela dit, on ne m’a jamais fait sentir que j’étais étranger, peut-être aussi parce que les gens l’ignoraient
Du premier entretien à l’obtention du passeport à croix blanche, quatorze étapes attendent tout candidat à une naturalisation dite ordinaire. Certaines phases s’avèrent plus stressantes que d’autres, à l’instar des auditions devant les autorités. Première étape, la commune de domicile : « A Port-Valais, nous avons été convoqués ensemble avec mes parents. Ce fut plus un entretien qu’un examen. On a entre autres échangé sur l’histoire de la Suisse, sa géographie, ses institutions. Tout s’est bien passé », se souvient Kevin.
Second oral, le canton. L’audition se passe devant la sous-commission « Naturalisation » du Grand Conseil. Pour notre candidat au passeport suisse, le rendez-vous a tourné court : « Là, je me suis retrouvé seul, sans mes parents, et les questions se sont avérées plus pointues que prévu ». Verdict : c’est l’échec ! « J’ai notamment trébuché sur la question des départements des sept conseillers fédéraux et sur la différence entre Chambre haute et Chambre basse », regrette Kevin. Ce même jour, son papa et sa maman passent avec succès ce grand oral.
Là, je me suis retrouvé seul, sans mes parents, et les questions se sont avérées plus pointues que prévu ». Verdict : c’est l’échec !
Si j’avais encore échoué, nous aurions dû recommencer à zéro, y compris mes parents, qui eux avaient pourtant tout réussi du premier coup
La deuxième tentative sera la bonne pour Kevin : « Pour le coup, je m’étais vraiment bien préparé. J’ai passé deux mois à tout apprendre par cœur ». Mais ce n’est qu’après les félicitations de ses examinateurs qu’il prendra toute la mesure de l’enjeu : « Si j’avais encore échoué, nous aurions dû recommencer à zéro, y compris mes parents, qui eux avaient pourtant tout réussi du premier coup ». Il en frémit encore.
La nationalité suisse se mérite. Mais elle en vaut le prix. Citoyen helvétique à part entière, Kevin a désormais accès aux droits politiques. « Ce fut l’une de mes principales sources de motivation, reconnaît-il. J’adore les débats de société et j’entends bien à présent m’engager politiquement. Mes valeurs ? La liberté d’entreprendre et la cohésion sociale sont des thèmes qui me sont chers ». Notre futur politicien se donne encore le temps de trouver un parti. En attendant, il se réjouit des « toutes premières fois » à venir, en l’occurrence l’assemblée primaire et les votations fédérales.
J’adore les débats de société et j’entends bien à présent m’engager politiquement.
Dame Helvetia accorde d’une main des droits et fixe de l’autre des devoirs. Servir l’armée en est un. Kevin y voit une belle opportunité : « C’est une chance énorme de pouvoir remplir ses obligations militaires. On y cultive la camaraderie tout en vivant des expériences hors du commun. A choisir, j’aurais une préférence pour l’armée de l’air », précise notre futur soldat. Mais avant son école de recrue, Kevin doit encore terminer son apprentissage d’employé de commerce. « Je viens de passer deux ans à la Chancellerie. Ma troisième et dernière année de formation se passera au SETI, le Service de l’économie, du tourisme et l’innovation ».
Franco-brésilien de souche et depuis peu Helvète, Kevin détient désormais trois passeports. Du haut de son mètre 96, il savoure son bonheur: « Je suis né en Suisse, j’ai fait toutes mes écoles en Suisse. Mes racines, elles sont suisses. Je ne vais pas pour autant renier mes origines brésiliennes et françaises». De ses origines plurielles, Kevin entend y puiser sa force, et pour lui, et pour ce Valais qui l’a vu grandir.
Je suis né en Suisse, j’ai fait toutes mes écoles en Suisse. Mes racines, elles sont suisses.
En visite
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En visite à Ayer
Village typique d’Anniviers, Ayer a su garder toute son authenticité dans une vallée en plein essor touristique. Ici, on prend grand soin de son patrimoine et de ses traditions. Adrienne Melly nous fait découvrir son village de cœur. Lire la suiteÀ proposEn visite à Ayer » -
En visite à Vollèges
Porte d’entrée du Val de Bagnes, Vollèges cultive une certaine discrétion en comparaison de sa voisine Verbier. Mais à y regarder de plus près, la destination offre mille et une raisons de s’y attarder. Bernard Abbet nous fait découvrir son village natal et ses environs. Lire la suiteÀ proposEn visite à Vollèges » -
à Saint-Nicolas
Saint-Nicolas est plus qu'un simple point de passage ou de départ pour les aventuriers des sommets alpins. C'est un lieu chargé d'histoire, de culture et de traditions, où l'on peut découvrir la richesse et la diversité du patrimoine valaisan. Lire la suiteÀ proposà Saint-Nicolas » -
à Euseigne
Le village doit sa notoriété à ses pyramides. Mais pour Sylvia Sierro-Cina, Euseigne recèle bien d’autres richesses. Collaboratrice administrative au Service de la santé publique, « la pharaonne », comme la surnomment certains, y vit depuis 14 ans. Visite guidée en sa compagnie. Lire la suiteÀ proposà Euseigne » -
à La Bâtiaz
La Bâtiaz : son quartier, son château. La bourgade jouit d’une belle renommée, bien au-delà de Martigny. Octodurienne pur sucre et collaboratrice spécialisée au Service cantonal de l’agriculture (SCA), Sandra Moulin-Michellod nous invite à découvrir « sa » Bâtiaz, un lieu empreint de souvenirs d’enfance. Lire la suiteÀ proposà La Bâtiaz » -
à Gondo
«Gondo, ce n’est pas que les intempéries. C’est bien plus que cela». Yannick Squaratti, cantonnier et conseiller communal, nous fait découvrir les trésors cachés du village. Lire la suiteÀ proposà Gondo » -
à Miège
Cap sur Miège. Le juge Patrick Schriber nous emmène à la découverte de son village d’adoption. L’homme de loi siège au Tribunal des mesures de contrainte (TMC) et au Tribunal de l’application des peines et mesures (TAPEM) à Sion. Natif de Sierre, Patrick Schriber a quitté la plaine pour le coteau en 2001. A Miège, le quinquagénaire s’y sent bien. Il apprécie l’esprit « joyeux et festif » de ses habitants et le dynamisme des sociétés locales. Bienvenue en terre « calabraise ». Lire la suiteÀ proposà Miège » -
à Collombey-Muraz
Montheysan de souche, Yves Cretton vit sur la commune voisine de Collombey-Muraz, aux Neyres plus précisément. Le Chablaisien goûte aux plaisirs du lieu depuis 20 ans. Sur le plan professionnel, Yves Cretton est rattaché au Service des Hautes Ecoles en tant que responsable de la centrale cantonale des moyens d’enseignement. Guide d’un jour, il nous fait découvrir Collombey-Muraz sous un visage nouveau. Lire la suiteÀ proposà Collombey-Muraz » -
à Binn
Hubert Gorsatt a grandi à Binn. Bien que ce cantonnier réside depuis de nombreuses années dans la commune de Fieschertal, il passe beaucoup de temps dans son chalet d’alpage au sommet du Binntal. Lire la suiteÀ proposà Binn » -
à Sion
Il n’y a parfois pas besoin d’aller très loin pour se sentir en vacances… Sion a comme un air d’Italie pour Ismaël Grosjean qui nous fait découvrir des petits coins de paradis de la capitale valaisanne. Lire la suiteÀ proposà Sion »
Dialogues
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Fidélité
Le canton fête ses jubilaires. Lire la suiteÀ proposFidélité » -
FMEP
La FMEP a fêté ses 75 ans lors de son assemblée des délégués. Lire la suiteÀ proposFMEP » -
Découvrir de nouvelles perspectives
Une cinquantaine d’enfants ont répondu à l’invitation de la Police cantonale le 8 novembre, à l’occasion de la journée Futur en tous genres. Lire la suiteÀ proposDécouvrir de nouvelles perspectives »
Info
Info: Service de la santé publique
Observatoire valaisan de la santé - Nomination de la nouvelle présidente
Le Gouvernement a nommé Laurence Richard comme membre et présidente du conseil d’administration de l’Observatoire valaisan de la santé (OVS) dès le 15 septembre 2023.
Avocate diplômée de l’université de Lausanne et domiciliée à Martigny, Laurence Richard est également au bénéfice d’un CAS et d’un DAS en médiation. Elle remplace Françoise Balmer Fitoussi qui était en fonction depuis l’année 2017.
La composition du conseil d’administration de l’OVS est donc la suivante pour le solde de la période administrative 2022-2025 : Laurence Richard, présidente, Simon Fluri, vice-président, Raphaël Bender, Olivier Chambovay, Dominique Germann, Sophie Ley et Jean-Bernard Moix.
L’ordonnance sur l’Observatoire valaisan de la santé du 1er octobre 2014 précise, à son article 5, que son conseil d’administration est composé de sept membres et réunit notamment des compétences médicales, soignantes, de santé publique, statistiques et juridiques.
Les chroniques de Stella
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Certains l’aiment chaud
C’est bien connu : les femmes aiment le chaud, les hommes plutôt le froid. Cela se vérifie également au bureau. Quand il est question de la température idéale, les conflits entre les deux sexes sont programmés. Surtout depuis qu’il est avéré que les femmes sont plus productives au travail avec la chaleur. Dans sa chronique, Stella se demande comment mettre fin à ces querelles de thermostat au sein d’un espace de travail partagé. Lire la suiteÀ proposCertains l’aiment chaud » -
Au revoir, à jamais
Le ghosting, c’est-à-dire la disparition soudaine d’une personne sans adieu ni explication, ne se limite pas aux rencontres des temps modernes : le phénomène semble avoir gagné le monde professionnel. De plus en plus de candidats ne reçoivent jamais de nouvelles de leur employeur potentiel après un entretien d’embauche. Est-ce la faute de l’expansion du numérique ? Lire la suiteÀ proposAu revoir, à jamais » -
La chronique de Stella
L'espace d'un instant, Stella s'imaginait déjà rouler sur l'or. Mais il en fut ensuite tout autrement... Lire la suiteÀ proposLa chronique de Stella » -
Les joies des soupers d’entreprise
Pour de nombreuses entreprises, les festivités de Noël et de Nouvel An sont une bonne occasion de remercier les collaborateurs pour le travail fourni en organisant une soirée. Toutefois, les soupers de fin d’année ne sont pas la tasse de thé de tout le monde. Stella nous confie pourquoi il vaut la peine d’y participer. Lire la suiteÀ proposLes joies des soupers d’entreprise » -
Une folie très ordinaire
Avec l'actuelle pandémie de coronavirus, notre langage change de façon spectaculaire. Des centaines de nouvelles expressions fleurissent dans notre vocabulaire. Alors qu’on parlait récemment beaucoup de la honte de prendre l’avion, voilà qu’elle est remplacée aujourd’hui par la honte d’éternuer. Lire la suiteÀ proposUne folie très ordinaire » -
Sacrée technologie !
Tous ceux qui ont déjà participé à des vidéoconférences reconnaîtront probablement l'un ou l'autre de ces éléments. Un aperçu de la folie quotidienne. Lire la suiteÀ proposSacrée technologie ! » -
Glosse
Qu’est-ce qui fait le succès d’une équipe? Lire la suiteÀ proposGlosse »
Conseils
Conseil : Vidéoconférences, ce qu’il faut faire et ne pas faire
Comment assurer le bon déroulement des séances virtuelles
Actuellement, les vidéoconférences remplacent nombre de rencontres et réunions en présentiel. Toutefois, il n’est pas du goût de tout le monde de renoncer aux discussions en tête à tête et de ne voir ses collègues qu’à travers un écran. Et pourtant, la vidéoconférence peut offrir de nombreux avantages lorsqu’on y a recours correctement. Elle offre par exemple plus de flexibilité en termes de temps et d’espace et permet aussi d’économiser des ressources.
Pour garantir le bon déroulement des réunions virtuelles, l’Etat du Valais a mis au point un guide pour le personnel qui fournit des conseils importants sur le travail mobile, et en particulier sur les vidéoconférences et les séances hybrides. Nous vous en avons résumé quelques-uns.
Préparation
Durée et rythme
Il est plus difficile de rester concentré pendant un long moment lors d’une conférence vidéo ou téléphonique. Il est donc recommandé de planifier des séances de 1h30 au maximum avec pas plus de 45 minutes consécutives. Faites une pause toutes les 45 minutes environ (cinq minutes suffisent). Cela permet aux participants de quitter un petit moment leur écran et d’être d’attaque pour se concentrer sur la partie suivante.
Taille du groupe
Il est recommandé de limiter le nombre de participants à dix au maximum ou de former des sous-groupes, si les outils utilisés le permettent.
Technologie fiable
En plus de la planification du contenu, il est essentiel que la technologie utilisée pour la réunion virtuelle soit moderne et fiable. Cela comprend une connexion internet ou Wi-Fi rapide et stable, une caméra, un micro et un écran. Testez votre matériel avant le début d’une séance.
La bonne lumière
Les images trop sombres ou trop lumineuses entravent nettement la concentration. La caméra ne devrait donc pas être orientée en direction de la fenêtre afin que l’image ne soit pas trop sombre. De même, il faut éviter que les participants soient éblouis ou perturbés par des surfaces réfléchissantes dans la pièce. Les lampes lumière du jour offrent une luminosité agréable.
Arrière-fond
Pour éviter les distractions, il ne faut si possible pas qu’il y ait dans le champ de vision de la caméra du mobilier inutile, du désordre sur le bureau, des plantes vertes, des œuvres d’art ou des objets en mouvement.
Vêtements
Lorsque vous êtes en vidéoconférence, évitez les habits à petits motifs. En effet, ils brouillent l’image sur l’écran, c’est-à-dire qu’ils engendrent des scintillements sur l’image qui déconcentrent les participants. Préférez plutôt des couleurs neutres.
Pendant la séance
Interactions / communication
- Eteignez le micro lorsque vous ne parlez pas.
- Intervenez via le chat ou en faisant un signe dont vous aurez convenu au sein du groupe.
- N’interrompez la personne qui parle que si vous avez quelque chose d’important et d’urgent à dire.
- Ne monopolisez pas la parole.
- Récapitulez souvent le contenu de la discussion.
- Gardez une trace des échanges, par exemple en partageant des notes ou des catures d'écran.
Après la séance
Retour
Demandez aux participants un retour sur la séance en ligne. Cela permet de créer une base qui peut contribuer à améliorer en permanence les vidéoconférences.
Procès-verbal de la séance
Envoyez le procès-verbal de la séance aux participants directement après la réunion. Garder une trace écrite de ce qui a été dit augmente la probabilité que les participants retiennent ce qui a été abordé et ce dont il a été convenu.
Coup d'oeil dans les archives de l'Etat
Coup d’œil dans les archives de l’Etat
Outre l’Exécutif et le Législatif, le Judiciaire contribue lui aussi au fonds des Archives de l’Etat du Valais. Grâce aux recueils de jugements et dossiers de procédures civiles et pénales, les personnes concernées, les chercheur.euses et même le public intéressé peuvent avoir un aperçu de la jurisprudence valaisanne – dans le respect des délais de protection en vigueur afin de préserver les droits de la personnalité de chacun.e, bien évidemment. Parmi les jugements conservés aux Archives de l’Etat, l’on trouve également une série de registres reliés de jugements pénaux (AEV, 5075). Pour que ces trésors plus que centenaires restent consultables par les générations futures, les collaboratrices et collaborateurs des Archives de l’Etat les soumettent à un traitement conservatoire: il.elles les nettoient, les conditionnent dans des boîtes et fourres adaptées puis les entreposent dans des locaux spécialement aménagés en sous-sol, avec une stabilité climatique optimale.
Qui n’a jamais renversé son café ou sa bouteille d’eau sur son bureau et regardé impuissant.e le liquide se répandre partout, jusque sur ses documents? Ou photocopié les pages d’un livre en pressant fortement le couvercle de l’appareil sur l’ouvrage pour obtenir une copie de meilleure qualité? Sans oublier les inondations qui peuvent atteindre les locaux d’archives… Même si l’on est soigneux.se au quotidien, l’endommagement d’un document est vite arrivé. Nos prédécesseur.es de l’Administration cantonale en ont fait la malheureuse expérience. Du fait d’une consultation fréquente, la reliure du registre 19 (1880-1881) de la collection des jugements pénaux a par exemple été fortement fragilisée et endommagée (le premier plat a disparu et le dos s’est décollé).
En 2012, cet ouvrage de plus de 140 ans a été confié à un professionnel pour être restauré dans les règles de l’art. Pas tant pour disposer d’un «beau» registre que pour le stabiliser aux fins de sa consultation.
IMG Loin du cliché de l’archiviste reclus.e dans une cave sombre, la préservation du patrimoine qui leur est confié fait partie du quotidien de nos collègues des Archives. Pour eux.elles, la durabilité est une préoccupation aussi importante qu’actuelle; son but est de garantir la transmission de ce patrimoine aux générations futures. Un pied dans le passé, les yeux rivés vers l’avenir, nos archivistes luttent contre la dégradation naturelle des documents. Une mission qui ne se limite pas à la durée d’une vie, mais s’étend sur des siècles, voire des millénaires. Envie d’en savoir plus sur le défi quotidien de la conservation et de l’archivage des documents papier, des parchemins et des fichiers électroniques? Alors visitez l’exposition des Archives de l’Etat du Valais «Pourvu que ça dure!» aux Arsenaux (rue de Lausanne 45), qui se tient depuis le 25 mars, ou profitez de la journée portes ouvertes du samedi 11 juin entre 10 et 22 h 00, date de fin de l’exposition.
Visites pour le personnel de l’Administration cantonale:
- 18 mai à 16h00 (en allemand)
- 18 mai à 17h00 (en français)
Inscription: par e-mail à sc-ac-recordsmgmt@admin.vs.ch